Les résumés et analyse de (5 à 9) la
boite à merveilles
Chapitre 5
Temps :
« Ce mercredi » (approche de l’Achoura)
Résumé :
Ce mercredi, le maître d’école est heureux et gentil
avec les écoliers. La raison de son bonheur est l’événement de L’Achoura,
occasion pour la réfection de l’école. Les enfants sont libérés pour le reste
de la journée. Le narrateur exulte. Cette joie est modifiée par l’absence de la
mère, qui est partie avec lalla Aicha.
Lorsque la mère est de retour, elle chuchote aux
voisines l’histoire de son amie. Moulay Larbi, ruiné par le procès rendu en
faveur de son ennemi, sa femme vend tous les bijoux et meubles qu’elle possède
pour que celui-ci puisse s’installer dans un nouvel atelier. Au moment où la
mère achève la relation de son récit, un hurlement déchirant s’élève. Une
vielle esclave informe les femmes que Sidi Mohamed ben Tahar, un coiffeur de
son état, vient de mourir.
La mère va présenter ses condoléances à la femme du
défunt. Le narrateur l’accompagne pleureuses et de l’épouse endeuillée.
Lorsqu’il revient chez lui, le narrateur songe à la mort et à l’enterrement.
Pour le consoler, le père lui raconte une histoire afin de lui faire comprendre
que certains morts sont accompagnés d’anges au paradis.
L’enfant sombre pourtant dans une tristesse
profonde ; il pense qu’il va mourir et se met à imaginer son propre
cortège funèbre. Il s’endort en faisant des rêves. En se réveillant le matin,
il est dispensé d’aller à l’école coranique et il est gratifié d’un beignet.
Laissé de suivre ses activités journalières des femmes, il s’occupe à réciter
le Coran avec ardeur. Il arrête sa psalmodie et sort sur le palier lorsque sa
mère lui offre une chaînette de cuire. Mais le chat amaigri de Zineb lui vole
la chaîne qu’il a nettoyée avec une grande application et s’enfuit. Croyant que
c’est la fillette qui l’a chargé de la lui voler. Il se précipite alors sur
elle ; et une violente dispute éclate les deux ennemis.
Événement :
Un mercredi, le fqih particulièrement clément,
expliqua ses projets pour la fête d’Achoura. Rentré chez lui, le narrateur
trouva sa mère absente en visite chez lalla Aicha. De retour, sa mère raconta
les malheurs de son amie d’abord à Fatma puis à Rahma en faisant promettre à
chacune le secret. Des cris et des hurlements annoncèrent la mort de Sidi
Mohamed Ben Taher. Imaginante cortège du défunt, l’auteur se souvient de
l’histoire racontée par son père concernant Sidi…qui tenait boutique dans un
Souk très fréquenté.
Informations :
Mort d’un voisin : sidi Mohamed Ben Tahar
Cauchemars et délire
Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :
La boite à merveilles se transforme en cercueil
(délire)
L’alchimie : la chaînette.
Lieux :
La maison mitoyenne à Dar Chouaffa, la maison du
narrateur.
Personnages :
Le fqih, Fatma Bziouya, Lalla Aicha, la mère de
narrateur, Sidi Mohamed ben Taher le coiffeur, une négresse, le narrateur, les
pleureuses, Zineb, les récitateurs, Driss le teigneux, Rahma
Chapitre 6
Personnages secondaires :
Lalla khadija : femme de l’oncle Othman, un
vieil homme. Elle est beaucoup plus jeune que lui. Jeune et charmante.
M’barka : vielle esclave de l’oncle Othman
L’oncle Othman : un homme qui a hérité d’une
grosse fortune qu’il a dilapidée dans sa jeunesse. Après plusieurs mariages, il
convole en secondes noces avec Lalla Khadija qui a su le conquérir.
Temps :
Le lendemain et le surlendemain
Le matin du troisième jour
Résumé :
Huit jours avant la fête de l’Achoura, le Msid est
nettoyé et enduit à la chaux par les écoliers. Seuls les plus grands sont admis
à cette tache ; cela déçoit le narrateur, Mais le jour suivant, il est
nommé chef de l’équipe qui doit nettoyer le sol. Le soir il revient à la maison
fatiguée mais se vante devant ses parents de ses exploits.
Le matin, sa mère le retient d’aller à l’école
coranique : elle compte l’emmener avec elle pour lui acheter les vêtements
de le fête. Il en saute de joie et se met à jouer au chevalier redresseur de
torts.
Après une courte réprimande, sa mère l’emmène avec
elle. La chouafa demande à la mère de lui apporter de tissu. Chemin faisant, la
mère rencontre une voisine de lalla Aicha. Elle rapporte que l’homme ruiné
s’est remis sur ses pieds.
Les éclats des tissus et exposés dans les boutiques de
kissaria ravissent le narrateur. La mère achète une cotonnade blanche, un gilet
pour le narrateur ; puis une satinette pour la Chouafa. En rentrant, le
garçon fait des grimaces à Zineb ; alors sa mère le bat, il éclate en
sanglots. Abandonné dans un coin, il rêve de devenir prince galant et puissant.
Mais pour ne pas déplaire davantage à sa mère, il mangea à contrecoeur la
viande aux navets. Au cour de déjeuner, ils entendent chanter lalla Khadija,
l’épouse du vieux Sidi Othman et sorti de bonne heure pour aller faire des
commissions à la jouteya. Il y a une foule de clients devant la boutique du
boucher. Impatient, le vieil homme jette des boutades désobligeantes au
boucher. Ace moment Si Othman donne un coup de pieds à un chien qui s’approche
de lui ; la bête s’empare de babouche qui a saute et s’enfuit. L’homme
poursuit le chien qui récupère son bien. De retour devant la boutique, il trouve
le boucher et les marchands de légume plongés dans le sommeil. Il revient chez
lui sans provisions, et offre à sa femme une rose pour la calmer. Cette
dernière le maltraite.
Événement :
Les préparatifs allèrent bon train au Msid pour la
fête de l’Achoura. Le fqih distribua les travaux et forma les équipes. L’auteur
fut nommé chef des frotteurs et il se vanta devant ses parents de ses multiples
exploits. Le matin suivant, il accompagna sa mère à la Kissaria où elle lui
acheta un gilet cerise abondamment orné. Lalla Zoubida fit encore des courses
pour Kanza et lui rapporta les quelques coudées de satinettes noires. De retour
chez lui, sidi Mohammed se disputa avec Zineb ce qui mit fort colère sa mère.
Le cœur gros, l’auteur tourmenté par la faim, rêva au jour où prince reconnu et
aimé, il offrirait des repas somptueux aux mendiants. Entre-temps, on entendit
lalla Khadija chanter et Rahma raconta l’histoire du couple de Khadija, la
jeune épouse avec son vieux mari l’oncle Othman
Informations :
Nettoyage du Msid en deux jour (fierté du narrateur
nommé « chef des frotteurs »
Le deuxième jour : achat d’habits neufs
Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :
Féerie : le prince de légende
Récit enchâssé :
Rahma raconte l’histoire de lalla Khadija avec son
vieux mari (l’art de raconter)
Lieux :
Le Msid, la Kissaria, Jouteya, pont de bin lemdoun
Personnages :
Le narrateur et ses condisciples,le fqih, la mère du
narrateur, le père du narrateur, Moulay larbi, Fatma Bziouya, Zineb, Lalla
Khadija la femme de l’oncle Othman, la vieille M’barka, Salem
Chapitre 7
Personnages secondaires :
Hammossa :
le condisciple du narrateur au Msid et surnommé ainsi parce qu’il est le plus
petit de taille. Son vrai nom est Azzouz Berrada
Oncle
Hammad : un client de Sidi Abderhaman qui souffre de plusieurs maux
et auquel le coiffeur recommande une recette qu’il prétend très efficace.
Si
Abederhaman : le coiffeur du père du narrateur et le père de la
deuxième épouse de Moulay Larbi le babouchier.
Temps :
« Deux
jours avant l’Achoura »
Le
lendemain matin
Trois
heures du matin
Résumé :
Les
préparatifs de l’Achoura commencent. Les femmes s’achètent des tambourins et
des bendirs, deux jours avant la Achoura. Le père achète au narrateur une
trompette. Il ne tarde pas à faire résonner l’instrument quand l’écolier
Hammousa, envoyé par le fqih, vient le chercher : on a besoin de lui pour
l’équipement des lustres. Les écoliers s’activent à la besogne comme des
fourmis. Ils terminent le travail avant le coucher du soleil et retournent chez
eux.
L’enfant
trouve sa mère ennuyée car le pétrole de la lampe s’est épuisé. Elle prie Driss
El Aouad de lui en apporter. Cette nuit, le garçon dort bercé par son
bonheur : son père lui fait part de son intention de l’emmener avec lui
demain au souk pour qu’il choisisse ses jouets.
Le matin,
après le repas, le père et son fils partent vers le souk. Ils achètent des
jouets, un cierge avant de se rendre chez le coiffeur. Le narrateur n’aime pas
cette personne diabolique qui le circoncirait un jour. Il y a des clients qui
viennent demander au barbier des remèdes pour leurs maladies.
Après de longs discussions et la saignée d’un client, le coiffeur
rase la tête du narrateur et la lui blesse.
De retour
à la maison, le garçon mange vite afin de pouvoir jouer avec Zineb et d’autres
enfants jusqu’au coucher du soleil. Après un bain douloureux, il mange et
s’endort.
A Trois
heures du matin, sa mère le tire d’un sommeil doux, il s’habille des vêtements
neufs et se dirige vers le Msid et se chausse de ses babouches neuves. Dans la
rue, le père lui donne cinq francs et un cierge pour le fqih. Dans le Msid
éclairé, les écoliers psalmodient de Coran avec ferveur : aujourd’hui, ils
fêtent la Achoura. A cette occasion, le fqih accorde à ses disciples trois
jours de vacances.
Après le
déjeuner à la cour duquel il s’est régalé de gâteaux, le père emmène avec lui
le narrateur au sanctuaire Moulay Idriss pour accomplir des prières. L’enfant
passe l’après-midi à écouter les récits sans tête ni queue de Lalla aicha qui
rend visite à sa mère. Elle dit que les affaires de son mari
prospèrent. Au moment où la visiteuse veut lui confier un secret, la mère
envoie son fils jouer sur le terrasse. Le soir, la femme part.
Événement :
La vielle
de l’Achoura, les femmes s’achètent des bendirs et des tambours. Le père du
narrateur lui offrit une trompette et sidi Mohamed participa au Msid à
l’équipement des lustres pour la nuit de l’Achoura. Rentré chez lui, sidi
Mohamed apporta un brin de menthe à Kanza qui le récompensa par une poignée de
grains de sésame. Le père du narrateur lui fit part de son intention de
l’emmener le lendemain chez le coiffeur. Une fois chez ce dernier, Si
Abderrhman bavarda sans discontinuer avec oncle Hammad du mariage de Sidi Ahmeh
avec la fille de Si Omar le notaire. Sidi Mohamed se trouva mal et son père
s’empressa de le faire sortir de la boutique. Rentré chez lui, l’auteur joua et
prit un bain.
Le jour
de l’achoura, le narrateur mit ses vêtements neufs et apporta cinq francs et un
cierge au Msid. Ce dernier avait une allure féerique. Une fois chez lui, le
narrateur mangea un repas de fête et c’est alors que lalla Aicha dit à la
famille une visite surprise.
Informations :
Liesse;
Préparatifs; Coupe de cheveux; Douche nocturne; Habillage;Rites :
psalmodies au Msid;Visite de Lalla aicha
Symbolisme de la boite à merveilles / Le
merveilleux :
Transfiguration
au Msid (« congrégation de seigneurs de légende)
Plus
besoin de rêverie en ce jour de fête.
Récit enchâssé :
Plusieurs
histoires imbriquées (prolixité du coiffeur) ; lalla Aicha la situation de
son mari s’est améliorée (elle révèle des secrets à son amie). ;
(considérations sur sa façon d’accoler les événements)
Lieux :
Le Msid,
la maison du narrateur, bab Moulay Idriss, Chémaine la rue bab Moulay Idriss,
le quartier Sagha, Moulay Idriss, la place des notaires.
Personnages :
Les
femmes de la maison, Zineb, le narrateur, le fqih, les condisciples du
narrateur, Hammossa, Driss El Aouad, Lalla Kanza, Si Abderrhaman, le coiffeur,
oncle Hammad, le père du narrateur, Moulay Larbi Alaoui, Sidi Ahmed,
la fille de Si Omar, Lalla Aicha.
Chapitre 8
Temps :
« Après les jours liesse… »; « La
chaleur »; Un lundi ; Le lendemain matin
Résumé :
Les insectes envahissent la maison, à cause de la
chaleur, les écoliers n’étudient plus dans le Msid ; ils déménagent dans
un petit sanctuaire abritant la tombe d’un saint situé non loin. Alignés
derrière le fqih, ils font leurs prières dans ce lieu. La bienveillance
inhabituelle du maître et le changement de décor ont un effet avantageux sur le
narrateur. Le père est fier de ces progrès. Mais l’enfant ne désire pas devenir
un savant ; il apprend studieusement uniquement pour faire plaisir à ses
parents. Au cours de la récitation, son imagination erre ailleurs.
Un lundi, le père annonce son intention de se
convertir dans la fabrication des haïks à la place des djallabas. Le déjeuner
fini, l’enfant est préoccupé par la comparaison des bijoux aux fleurs, comparaison
qui fait rire ses parents. Il plonge dans une réflexion sur les fleurs et les
bijoux. Pendant ce temps sa mère échange des propos avec Fatma
Bziouya. Après la prière de l’Aassr, le père emmène sa femme, Fatma
Bziouya et son fils au souk dans le but d’acheter des bijoux à sa femme. Le
père se dispute avec un courtier de bijoux. Ayant perdu les traces du père, le
narrateur, sa mère et la voisine rentrent à la maison. Lalla Zoubida et son
fils pleurent en attendant le retour de Si Abdeslam.
A la tombée de la nuit, le père revient apportant les
bracelets. La mère, les considérant comme un signe de mauvais augure
(=défavorable, mauvais signe), les reçoit à contrecoeur. Cette nuit, le
narrateur fait un cauchemar. Lorsqu’il se réveille le matin, le père le dispense
d’aller au Msid. Il garde le lit toute la journée. Lalla Aicha vient leur
rendre visite. Après que la mère a abandonné la mésaventure du souk. La
visiteuse l’informe que son mari l’a abandonnée et épousé la fille du coiffeur
Abderrahman. Soudain le narrateur se sent mal et s’endort.
Evénement :
Avec l’arrivée de la chaleur, les mouches firent leur
apparition dans la maison du narrateur où la mère les chassait à grands coups
de torchon. Le Msid fut déménagé dans un petit sanctuaire ce qui améliora l’aptitude
d’ apprendre de Sidi Mohamed. Un lundi, le père du narrateur annonça son
intention d’emmener sa femme et son fils au souk de bijoux pour acheter à sa
femme des bracelets soleil et lune. Accompagnée de fatma Bziouya, la
famille du narrateur arriva au souk des bijouteries. Le père du narrateur qui
voulait corriger le courtier malhonnête, se disputa avec lui et disparut dans
la foule des badauds. Sa famille rentra en pleurs pour attendre la fin des
événements. A son retour, le père apporta les bracelets dont sa femme n’en
voulait plus arguant qu’ils vont attirer le malheur sur son foyer. Après ces
malheurs, Lalla Zoubida reçut la visite de Lalla Aicha, lui raconta les démêlés
avec le Dellal et compatit aux malheurs de son amie. Sidi Mohamed, rendu malade
par tout ce tragique, en devint véritablement malade.
Informations :
Dépit du narrateur en raison du rire de ses parents
d’une de ses réflexions ; querelle du père dont on a perdu la trace
juste après, avec un courtier ; douleur extrême de la mère ; cauchemars
marquants de l’enfant ; cris et pleurs : le mari de Lalla aicha vient
de prendre une seconde épouse (la fille d’Abderahman le coiffeur) ; le
narrateur tombe vraiment malade.
Lieux :
La chambre, le petit sanctuaire, le Souk des bijoux,
le Souk des fruits secs, la maison.
Personnages :
La mère du narrateur, le narrateur, le fqih, le père
du narrateur, Fatma Bziouya, Dellal, lalla Aicha.
Chapitre 9
Résumé :
Le narrateur se revivifie le soir du jour
suivant ; mais il a encore mal. Les parents en sont affligé. Après un
dîner triste, le mari informe sa femme qu’il est ruiné .Il fait part de son
intention de travailler comme ouvrier moissonneur dans les environ de la ville.
Le matin,le père part. l’enfant éprouve le vide autour
de lui, même s’il se sent mieux. Fatma Bziouya lui apporte un boisson à
la menthe sauvage, qu’il boit de mauvais gré. Après le déjeuner, la mère sort
pour aller rendre visite à son amie Lalla Aicha ; le narrateur reste dans
son lit. Pour tromper l’ennui causé par l’affreuse attente du retour de sa
mère, le garçon vide sa Boite à Merveilles; mais les objets qu’elle contient
lui inspirent le chagrin. Le soir, bercé par les bruits de l’orage le son d’une
flûte mystérieuse, il dort avec peine.
La mère le réveille et lui promet une omelette qu’il
aime beaucoup. Elle l’emmène avec elle au sanctuaire Sidi Ahmed Tijani pour se
recueillir. Après, ils se dirigent vers la maison de Lalla Aicha. Les deux ont
l’intention d’aller consulter Sidi el Arafi, un voyant aveugle, pour qu’il leur
donne conseil à propos des malheurs qui les frappent.
Événement :
Le narrateur souffrit de la fievre et sa mère resta
aux petits soins pour lui. Une fois rebtré, le père du narrateur annonça à sa
femme qu’il a perdu son capital dans la cohue des enchères aux haiks. Il a pris
aussi la décision de vendre les bracelets et d’aller travailler comme
moissonneur aux environ de Fès. Le surlendemain, le père partit en laissant à
sa femme l’argentdes bracelets. Pour accelerer la guerison de sidi Mohamed,
Fatma lui apporta un Tadeffi qu’il se fit prier pour avaler. Sur les conseils
de lalla Aicha, la mère du narrateur partit en compagnie visiter El Arafi qui
habitait quartier Seffah et avait une bonne réputation.
Informations :
Le père a perdu son maigre capital, sa résolution de
partir travailler comme moissonneur.
Départ du père
Ce qu’il en résulte : détérioration, solitude,
vie double de l’enfant.
Visite chez Lalla Aicha.
Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :
La boite : « un cercueil où gisait… »
Lieux :
Mausolée Ahmed Tijani _ ruelle. Chez lalla Aicha.
Tableaux et descriptions :
le narrateur-personnage alité.
Altercation de la mère avec un marchand de tomates
Description de la misère des lieux.
Personnages :le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, Rahma , Fatma , El
Araf
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