Le terme « devoir »
est un concept chargé de
significations. Généralement il est conçu comme étant une obligation morale,
dictée par le système moral que l'être humain accepte par principe, par les
convenances et aussi par la loi. Et l'être humain est appelé à
l'accomplir.
La vie sociale doit sa continuité par l'application du devoir qui, à mon sens,
est le garant exclusif de l'organisation de la société. Le devoir peut être
personnel, familial et social. Or, il semble que ce mot est rejeté et n'est plus
pris en considération. Qui reconnaît aujourd'hui le devoir des uns envers des
autres ? Chacun estime qu'il n'a qu'un seul devoir : être, jouir, éprouver le
plaisir, posséder, prendre, à tel point que le devoir apparaît comme une
contrainte qui gêne l'existence de l'homme en société. D'abord, le devoir de
l'homme envers lui-même : l'homme est appelé à s'épanouir, à aspirer à ses
ambitions, tout en prenant en considération ses compétences personnelles. Ce
devoir est donc sacré. Quant au devoir de l'homme envers ses semblables, quelle
serait sa vie si la solitude l'écartait d'autrui, si l'égoïsme le ronge ?
La valeur de l'homme réside dans le fait de se sentir utile aux autres. Le
devoir est le lien qui unit l'homme à ses semblables dans un cadre d'échange des
responsabilités. L'intérêt d'autrui doit constamment être présent dans ses
relations ce qui me paraît relativement utopique en notre temps c'est l'intérêt
personnelle qui dépasse de loin tout intérêt à autrui. Et cette indifférence et
individualisme conduit fatalement à la dislocation et à la destruction de la
vie sociale et la disparition des principes fondamentaux pour lesquels elle a
été conçue. Je ne dis pas que l'homme doit favoriser l'altruisme au détriment
de ses obligations personnelles, mais j'opte pour un équilibre qui réhabilite
l'homme en tant qu'un être effectivement social.
Le mot « devoir » est une notion chargée de
sens. Souvent il est compris comme étant une obligation imposée par le système
moral que l'homme accepte par principe, par les convenances et par la loi. Et
l'être humain est appelé à l'’assumer. La société doit sa continuité grâce à
l'application du devoir qui en est le garant exclusif.
Le devoir peut être personnel, familial et social. Or, il semble que ce terme
est rejeté et n'est plus pris en considération. Qui reconnaît aujourd'hui le
devoir des uns envers les autres ? Chacun croit qu'il n'a qu'un seul devoir :
être, jouir, éprouver le plaisir, posséder, prendre…à tel point que le devoir
apparaît comme une contrainte qui trouble l'existence de l'homme en société.
D'abord, le devoir de l'homme envers lui-même : l'homme est appelé à
s'épanouir, à aspirer à ses ambitions, tout en prenant en considération ses
aptitudes personnelles. Ce devoir est donc sacré. Quant au devoir de l'homme
envers ses semblables, quelle serait sa vie si la solitude l'écarte d'autrui,
si l'égoïsme le ronge ?
La valeur de l'homme réside dans le fait de se sentir utile aux autres. Le
devoir est le lien qui unit l'homme à ses semblables dans un cadre d'échange
des responsabilités. L'intérêt d'autrui doit constamment être présent dans ses
relations ,ce qui me paraît relativement utopique .A notre époque, c’est
l'intérêt personnelle qui dépasse de loin tout intérêt à autrui. Et cette
indifférence et individualisme conduit fatalement à la dislocation et à la
destruction de la vie sociale et la disparition des valeurs fondamentales pour
lesquels elle a été conçue. Je ne dis pas que l'homme doit favoriser
l'altruisme au détriment de ses obligations personnelles, mais j'opte pour un
équilibre qui réhabilite l'homme en tant qu'un être effectivement social.
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