souvenir d'enfance.
Souvenir d’enfance (premier jour à l’école)
J'ai beaucoup de bons souvenirs, c'est très
difficile d'en choisir un seul, mais l'un des faits saillants a été ma
tricherie dans l'art. Je détestais l'art à l'école, personne n'aime vraiment
l'art au lycée. Nous avons dû faire un modèle en papier mâché au cours de six
mois et j'étais en retard, et c'était dû dans quelques semaines. Alors mon
professeur m'a fait le ramener à la maison et veut que j'aie fait beaucoup de
progrès d'ici la prochaine leçon. Mais j'ai juste un tube de pingles pour le
cou, des gobelets en plastique pour les jambes, deux bols en plastique pour les
pieds et une boîte de céréales pleine de papier de soie pour le corps.
Collez-les tous ensemble et mettez deux couches de papier journal sur le
dessus. Je l'ai ensuite apporté et je l'ai montré à mon professeur et je lui ai
dit que j'avais fini tôt, elle était très contente et m'a simplement laissé
faire tout autre travail que j'avais. Cela a duré quelques semaines et pendant
que tout le monde travaillait, je me suis assis avec ma création, J'ai fini par
obtenir un A, la meilleure note de la classe.
Souvenir d’enfance 1
J’avais encore dix ans. Un soir vers six
heures, je me promenais un jour avec mon frère dans les bois. Le ciel était
bleu et un silence total régnait dans cet endroit.
Soudain, nous entendîmes un cri
horrible. Je sursautai et me tournai vers l’origine du cri. J’avais la chair de
poule et mon coeur battait très fort. D’abord, je ne vis rien. je m’approchais
doucement et j’entendais une voix sourde qui appelait à l’aide:
« Au secours! Aidez-moi! ».
Alors, j’aperçus un grand fossé très profond. Je me penchai pour voir et je
vis une petite fille de cinq ans qui pleurait. Alors, je
l’aidai à sortir du fossé. Heureusement qu’elle n’était pas blessée. Ses
parents n’étaient pas loin, mis ils n’avaient pas entendu le cri de la petite.
Ils m’ont beaucoup remercié.
C’est un événement qui restera gravé
dans ma mémoire.
Souvenir d’enfance 2
Consigne: Un jour tes
parents étaient absents. Tu étais seul dans ta chambre et tu as ressenti une
grande peur. Raconte ce qui s’est passé en décrivant ta peur.
Je me souviens encore de ce soir-là
comme si c’était hier. J’avais encore six ans quand mes parents me laissèrent
dans ma chambre pour aller faire une commission et revenir rapidement. Mais à
cause de la tempête, ils rentrèrent tard.
J’étais allongé dans mon lit en train de
lire un conte de Mille et une nuits. Soudain, j’entendis un grand bruit qui me
fit sursauter. Je me mis debout sans savoir que faire. Mes cheveux se
dressèrent et j’avais la chair de poule. Mes jambes tremblaient. Mon cœur
battait très fort. Je ressentis une panique incroyable. Après quelques
secondes, je décidai de descendre l’escalier pour voir l’origine du bruit.
Alors, je pris un balai et j’avançais à pas timides vers la cuisine. Quand je
m’approchai de la porte, un chat miaula. Je fus soulagé. Le matou cherchait à
manger dans le buffet et fit tomber une casserole. Je repris mon souffle et je
revins dans ma chambre. Après un instant mes parents arrivèrent et je leur
racontai l’histoire. Ils saluèrent mon courage et me donnèrent du chocolat.
« Tu est devenu un homme Ahmed, désormais, je peux compter sur toi ».
Je n’arrive jamais à oublier ce souvenir
qui reste gravé dans m mémoire.
Souvenir d’enfance 3
C’était quand
j’avais neuf ans, mon père et moi avions appris que ma mère avait un cancer à
l’estomac. Au début, je n’avais pas compris, et puis ma mère m’a expliqué
qu’elle devait aller à la clinique, pour se faire retirer un microbe. _
J’allais la voir tous les jours à la clinique, je faisais mes devoirs là-bas,
je lui racontais ma journée, puis je rentrais avec mon père. Un jour, elle
s’est fait opérer, cela a été dur pour elle. Ma mère était très fatiguée mais
notre présence l’aidait à surmonter sa douleur. Elle resta assez longtemps
puis, un jour, on rentra à la maison. _ J’étais heureuse ! _ Mais, environ un
mois plus tard, les médecins ont découvert que son cancer était revenu. Ma mère
dut retourner à la clinique. Elle s’est refait opérer. Cela n’a pas marché, les
médecins n’ont pas réussi à tout retirer. _ Un jour, je suis arrivée à la
clinique pour la voir, et j’ai été très étonnée de voir tout le monde qui se
mouvait devant sa chambre. Il y avait des gens que j’avais dû voir une fois
dans ma vie, ma famille, et des amis. Je suis allée voir ma mère dans la
chambre, elle était très mal en point, elle n’arrivait plus à parler, ni à
bouger, car elle était trop faible, c’était horrible, les larmes me montaient
aux yeux et commencèrent à couler. Ma grand-mère me dit de sortir, et me fit
comprendre qu’il ne fallait pas pleurer devant elle. _ C’est là que j’ai vu mon
père contre le mur, qui pleurait. C’était la première fois que je le voyais en
train de verser des larmes. Mon père m’a dit que, ce soir-là, j’irais dormir
chez mon oncle, car lui restait à la clinique.
Le lendemain matin, ma
tante me réveilla. Elle avait les larmes aux yeux, elle me dit que mon père
voulait me parler, il était au téléphone. _ Je répondis, il avait une voix
douce et sanglotant, mon cœur battait très fort, quand il prononça la phrase
qui me fit éclater en sanglots : « Dorothée, j’ai une bonne et une mauvaise
nouvelle. La bonne, c’est que ta mère ne souffre plus ; et la mauvaise, c’est
qu’on ne la reverra plus, car elle est avec les anges. » _ J’ai eu du mal à m’y
faire, mais je n’ai pas eu le choix, comme beaucoup d’autres.
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