les examens de chapitre 1 ( les controles )

 

Les controles ( la boite à merveilles )





Contrôle : 1

 

Texte

 

Toujours silencieux, mon père continuait à manger.

Ma mère recommença :

- Oui, tout cela ne te fait rien. Que ta femme subisse tous les affronts, ton appétit n’en est pas affecté et tu manges comme à l’ordinaire. Moi, j’ai tellement de peine sur le cœur que je ne mangerai plus jamais de ma vie.

Ma mère, se cachant le visage dans ses deux mains, poussa un long sanglot et se mit à pleurer à chaudes larmes. Elle gémissait, se lamentait, se donnait de grandes claques sur les cuisses, chantant sur un air monotone et combien triste tous les malheurs qui l’avaient frappée. Elle énumérait les insultes qu’elle avait reçues, les épithètes dont on l’avait gratifiée, recommençait intarissablement le panégyrique de ses ancêtres qui, par la même occasion, se trouvaient offensés.

Mon père, rassasié, but une gorgée d’eau, s’essuya la bouche, tira à lui un coussin pour s’accouder et demanda :

- Avec qui tu t’es encore disputée ?

La phrase eut sur ma mère un effet magique. Elle cessa de pleurer, releva la tête et, avec une explosion de fureur, s’adressa à mon père :

- Mais avec la gueuse du premier étage, la femme du fabricant de charrues ! Cette dégoûtante créature a souillé mon linge propre avec ses guenilles qui sentent l’étable. Elle ne se lave jamais d’ordinaire, elle garde ses vêtements trois mois, mais pour provoquer une querelle, elle choisit le lundi, mon jour de lessive, pour sortir ses haillons. Tu connais ma patience, je cherche toujours à aplanir les difficultés, je ne me départis jamais de ma courtoisie coutumière ; je tiens cela de ma famille, nous sommes tous polis. Les gens qui nous provoquent par des paroles grossières perdent leur temps. Nous avons conservé notre calme et garder notre dignité. Il a fallu cette pouilleuse…

La voix de Rahma troua la nuit.

- Pouilleuse ! Moi ! Entendez-vous, peuple des Musulmans ? La journée ne lui a pas suffi, les hommes sont maintenant dans la maison et pourront témoigner devant Dieu qui de nous deux a dépassé les limites des convenances.

La Boîte à Merveilles

 

I.                    ÉTUDE DE TEXTE (10 points) :

 

Lisez attentivement le texte et répondez aux questions suivantes :

 

1.  a) À quel genre littéraire appartient « La Boîte à Merveilles »

b) À quelle date a-t-elle été publiée ?

c) Qui en est l’auteur ?

d) Citez une autre œuvre du même auteur. (0,25 pt x 4)

2. Pour situer le texte dans l’œuvre, répondez à ces questions : (0,5 pt x 2)

a)  Dans quel type de logement habite la famille du narrateur ?

b) Quel métier fait le père du narrateur ?

3. a) Que reproche la mère du narrateur à son mari ? (0,5 pt x 2)

b) Justifiez votre réponse par un énoncé du texte.

4. a) Avec qui la mère du narrateur s’est-elle disputée ? (0,5 pt x 2)

b)                       Pour quelle raison ?

5. Dans la première partie du texte, que fait la mère du narrateur pour convaincre son mari qu’elle est victime de cette dispute ? (1 pt)

6. La mère du narrateur brosse un portrait dévalorisant de la femme avec laquelle elle s’est disputée. Relevez du texte deux éléments qui le montrent. (0,5 pt x 2)

7.  « Je ne me départis jamais de ma courtoisie coutumière. »

Le mot souligné dans cet énoncé signifie :

-Crainte              -Patience            -Politesse

Recopiez la bonne réponse.  (1 pt)

8.« Je ne mangerai plus jamais de ma vie »

La figure de style employée dans cet énoncé est :

- Une métonymie                 -Une hyperbole           -Une antiphrase

Recopiez la bonne réponse. (1 pt)

9. Dans le texte, la mère du narrateur évoque sa famille (ses origines) avec beaucoup de fierté.

Pour quelle raison selon vous ? (Répondez en trois lignes au maximum). (1 pt)

 

10.     Le père du narrateur écoute avec calme ce que sa femme lui raconte à propos de sa dispute.

Que pensez-vous de cette attitude ? Justifiez votre réponse (en quatre lignes au maximum). (1 pt)

 

Contrôle 2

Texte :

Dès notre arrivée nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes. Après avoir payé soixante-quinze centimes à la caissière nous commençâmes notre déshabillage dans un tumulte de voix aiguës, un va-et-vient continu de femmes à moitié habillées, déballant de leurs énormes baluchons des caftans et des mansourias, des chemises et des pantalons, des haïks à glands de soie d'une éblouissante blancheur. Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements inexplicables et injustifiés. Je retirai mes vêtements et je restai tout bête, les mains sur le ventre, devant ma mère lancée dans une explication avec une amie de rencontre. Il y avait bien d'autres enfants, mais ils paraissaient à leur aise, couraient entre les cuisses humides, les mamelles pendantes, les montagnes de baluchons, fiers de montrer leurs ventres ballonnés(…).

Moi, je me sentais plus seul que jamais. J'étais de plus en plus persuadé que c'était bel et bien l'Enfer. Dans les salles chaudes, l'atmosphère de vapeur, les personnages de cauchemar qui s'y agitaient, la température, finirent par m'anéantir. Je m'assis dans un coin, tremblant de fièvre et de peur. Je me demandais ce que pouvaient bien faire toutes ces femmes qui tournoyaient partout, couraient dans tous les sens, traînant de grands seaux de bois débordants d'eau bouillante qui m'éclaboussait au passage. Ne venaient-elles donc pas pour se laver ? (…)

Heureusement pour moi, ces séances de bain étaient assez rares. Ma mère ne voulait point s'embarrasser de l'enfant empoté et maladroit que j'étais. Pendant son absence, j'étais livré à mes timides fantaisies. Je courais pieds nus dans le derb, imitant le pas cadencé des chevaux, je hennissais fièrement, envoyais des ruades. Parfois, je vidais simplement ma Boîte à Merveilles par terre et j'inventoriais mes trésors. Un simple bouton de porcelaine me mettait les sens en extase.

I. ÉTUDE DE TEXTE : (10 points)

A. CONTEXTUALISATION DU TEXTE :

1.Complétez le tableau suivant après l’avoir reproduit sur votre copie : (1 pt)

§  Titre de l’œuvre : La boîte à merveilles

§  Auteur : Ahmed Sefrioui

§  Siècle : 20ème siècle

§  Genre littéraire : Roman autobiographique

2.- a) Qui est le narrateur dans le texte ? (0,5 pt)

- Le narrateur est Sidi Mohammed.

b) Dans quel lieu se trouvait-il ? (0,5 pt)

- Dans le bain maure.

B. ANALYSE DU TEXTE :

3.-Indiquez deux caractéristiques du lieu décrit qui ont mis le narrateur très mal à l’aise. (1 pt)

- Le bruit, les hurlements, l’agitation, gesticulation, la chaleur… (Le tumulte de voix, le va-et-vient continu des femmes …)

4.- a) En vous appuyant sur les deux premiers paragraphes, indiquez si cette proposition est vraie ou fausse :

« Le narrateur sentait tout le temps la présence de sa mère et des autres personnages à ses côtés » (0,5 pt)

- Proposition fausse.

b) Justifiez votre réponse en relevant une phrase du texte. (0,5 pt)

- « Moi, je me sentais plus seul que jamais. »

5.- a) Dans le 2ème paragraphe, le narrateur a utilisé une hyperbole pour donner une image plus forte et plus sombre de l’endroit où il se trouvait. Relevez cette hyperbole. (0,5 pt)

« … c'était bel et bien l'Enfer. »

b) Pour justifier l’emploi de cette hyperbole, citez une sensation physique et un sentiment éprouvés par le narrateur. (0,5 pt)

- La fièvre et la peur.

6.- a) Comme effet direct de tout cela, est-ce que les personnages continuaient à se présenter devant le narrateur sous leur aspect (forme) naturel ? Justifiez votre réponse par une expression du texte. (0,5 pt)

Non, ils ne se présentent pas sous leur aspect naturel : « … les personnages de cauchemar qui s'y agitaient… »

b) Pour décrire sa propre situation dans ce lieu, le narrateur a-t-il employé une tonalité : ironique, pathétique ou comique ? (0,5 pt) - Une tonalité pathétique.

7.- a) Relisez la phrase soulignée dans le texte « Ne venaient-elles donc pas pour se laver ? », puis dites si le narrateur se posait cette question : (0,5 pt)

- parce qu’il ignorait pourquoi ces femmes étaient là.

- parce que ces femmes ne faisaient que se laver à grande eau.

- parce qu’il était étonné de voir ces femmes s’agiter au lieu de se laver.

- parce qu’il était étonné de voir ces femmes s’agiter au lieu de se laver.

b) Cette interrogation est-elle formulée au discours : direct, indirect ou indirect libre ? (0,5 pt)

- Au discours indirect libre.

8.- a) Pourquoi la mère n’emmenait-elle pas souvent son enfant dans le lieu décrit dans le texte ? (0,5 pt)

- Car sa mère ne voulait pas s'embarrasser de l'enfant empoté et maladroit qu’il était.

b) Est-ce que l’enfant s’ennuyait alors pendant l’absence de sa mère ? Dites brièvement pourquoi. (0,5 pt)

- Non, car il trouvait la liberté de se livrer à ses fantaisies.

C. RÉACTION PERSONNELLE FACE AU TEXTE :

9.- À la place du narrateur, auriez-vous éprouvé les mêmes sentiments que lui dans le lieu où l’emmenait sa mère ? Dites pourquoi. (1 pt)

- Exemple : Je n’aurais pas éprouvé les mêmes sentiments car je ne suis pas aussi timide et solitaire que le narrateur.

10. - À votre avis, la mère avait-elle raison de laisser son enfant seul et sans contrôle dans la rue pendant son absence ? Justifiez votre point de vue par un argument personnel. (1 pt)

- Exemple : À cette époque, la rue ne constituait pas un danger car les voisins jouaient un rôle dans la protection des enfants.

 

 

 

 

Contrôle : 3

Texte :

Ma mère me calma :

- Je t'emmène prendre un bain, je te promets un orange et un œuf dur et tu trouves le moyen de braire comme un âne !

Toujours hoquetant, je répondis :

- Je ne veux pas aller en Enfer.

Elle leva les yeux au ciel et se tut, confondue par tant de niaiserie.

Je crois n'avoir jamais mis les pieds dans un bain maure depuis mon enfance. Une vague appréhension et un sentiment de malaise m'ont toujours empêché d'en franchir la porte. A bien réfléchir je n'aime pas les bains maures. La promiscuité, l'espèce d'impudeur et de laisser-aller que les gens se croient obligés d'affecter en de tels lieux m'en écartent. Même enfant, je sentais surtout ce grouillement de corps humides, dans ce demi-jour inquiétant, une odeur de péché. Sentiment très vague, surtout à l'âge où je pouvais encore accompagner ma mère au bain maure, mais qui provoquait en moi un certain trouble.

Dès notre arrivée nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes. Après avoir payé soixante quinze centimes à la caissière nous commençâmes notre déshabillage dans un tumulte de voix aiguës, un va-et-vient continu de femmes à moitié habillées, déballant de leurs énormes baluchons des caftans et des mansourias, des chemises et des pantalons, des haïks à glands de soie d'une éblouissante blancheur. Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements inexplicables et injustifiés.

Je retirai mes vêtements et je restai tout bête, les mains sur le ventre, devant ma mère lancée dans une explication avec une amie de rencontre. Il y avait bien d'autres enfants, mais ils paraissaient à leur aise, couraient entre les cuisses humides, les mamelles pendantes, les montagnes de baluchons, fiers de montrer leurs ventres ballonnés et leurs fesses grises.

Je me sentais plus seul que jamais. J'étais de plus en plus persuadé que c'était bel et bien l'Enfer. Dans les salles chaudes, l'atmosphère de vapeur, les personnages de cauchemar qui s'y agitaient, la température, finirent par m'anéantir. Je m'assis dans un coin, tremblant de fièvre et de peur. Je me demandais ce que pouvaient bien faire toutes ces femmes qui tournoyaient partout, couraient dans tous les sens, traînant de grands seaux de bois débordants d'eau bouillante qui m'éclaboussait au passage.

I. Compréhension : (10 points)

1)

Titre de l’œuvre : La boîte à merveilles

Auteur : Ahmed Sefrioui

Genre de roman : Roman autobiographique

Époque des évènements : 20e siècle

-Remplissez le tableau ci-dessus en vous référant à l’œuvre d’où le texte est tiré. (0,25 x 4)

2) D'après votre lecture de l’œuvre, quel métier (activité) exerce chacun de ces personnages ? (0,5 x 2)

-Abdallah, Lalla Kanza.

-Abdallah : épicier

-Lalla Kanza : voyante

3) Dans le lieu où se trouvait le narrateur :

-Mettez une croix dans la case qui convient en vous référant au texte. (0,25 x 4)

4) Quels sentiments le narrateur éprouve-t-il dans le dernier paragraphe du texte ? (se limiter à deux sentiments) (0,5 x 2)

-La solitude / le malaise / la peur / l'étouffement

5) Dans ce même paragraphe (le dernier):

a) À quoi le narrateur compare-t-il ce lieu ? (0,5)

-à l'Enfer

b) Justifiez votre réponse en vous limitant à deux indices. (0,25 x 2)

- C'était bel et bien l'Enfer / les salles chaudes / l'atmosphère de vapeur / les personnages de cauchemar / la température.

6) a)- Je ne veux pas aller en Enfer.

b) Dés notre arrivée, nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes.

-Précisez le mode d'énonciation (le système énonciatif) utilisé dans chacun des deux énoncés ci-dessus. (0,5 x 2)

a) -Le discours

b) -Le récit

7) Relevez dans le texte :

a) quatre mots relatifs au champ lexical du « corps humain ». (0,25 x 4)

-Les pieds / les mains / le ventre / les cuisses / les mamelles / fesses

b) une phrase comportant une comparaison. (1 pt)

- Je t'emmène prendre un bain, je te promets un orange et un œuf dur et tu trouves le moyen de braire comme un âne !

8) À votre avis, le narrateur a-t-il gardé un bon souvenir du lieu où il était ?

Justifiez votre réponse. (1 pt)

- Je trouve que le narrateur n’a pas gardé un bon souvenir du lieu où il était puisqu'il affirme lui-même qu’un sentiment de peur et de malaise est resté gravé dans sa mémoire.

9) D'après votre lecture du passage, quelle idée vous faites-vous du narrateur ? (1 pt)

- Je pense que le narrateur est un enfant solitaire et sensible qui a des difficultés à s’adapter à des situations nouvelles.

 

 

 

Texte :

 

Le soir, quand tous dorment, les riches dans leurs chaudes couvertures, les pauvres sur les marches des boutiques ou sous les porches des palais, moi je ne dors pas. Je songe à ma solitude et j’en sens tout le poids. Ma solitude ne date pas d’hier.

Je vois, au fond d’une impasse que le soleil ne visite jamais, un petit garçon de six ans, dresser un piège pour attraper un moineau mais le moineau ne vient jamais. Il désire tant ce petit moineau ! Il ne le mangera pas, il ne le martyrisera pas. Il veut en faire son compagnon. Les pieds nus, sur la terre humide, il court jusqu’au bout de la ruelle pour voir passer les ânes et revient s’asseoir sur le pas de la maison et attendre l’arrivée du moineau qui ne vient pas. Le soir, il rentre le cœur gros et les yeux rougis, balançant au bout de son petit bras, un piège en fil de cuivre.

Nous habitions Dar Chouafa, la maison de la voyante. Effectivement, au rez-de-chaussée, habitait une voyante de grande réputation. Des quartiers les plus éloignés, des femmes de toutes les conditions venaient la consulter. Elle était voyante et quelque peu sorcière. Adepte de la confrérie des Gnaouas (gens de Guinée) elle s’offrait, une fois par mois, une séance de musique et de danses nègres. Des nuages de benjoin emplissaient la maison et les crotales et les guimbris nous empêchaient de dormir, toute la nuit.

Je ne comprenais rien au rituel compliqué qui se déroulait au rez-de-chaussée. De notre fenêtre du deuxième étage, je distinguais à travers la fumée des aromates les silhouettes gesticuler. Elles faisaient tinter leurs instruments bizarres. J’entendais des you-you. Les robes étaient tantôt bleu-ciel, tantôt rouge sang, parfois d’un jaune flamboyant. Les lendemains de ces fêtes étaient des jours mornes, plus tristes et plus gris que les jours ordinaires.

 

                   I.            ÉTUDE DE TEXTE : (10 points)

1)   -En vous référant à votre lecture de l’œuvre :

a.    Recopiez et complétez le tableau suivant : (1 pt)

Titre de l’œuvre

Auteur

Genre

Date de parution

……………

……………

………………

………………

 

b.   Ce passage se situe au début, au milieu ou à la fin du roman ? (0,5 pt)

 

2)  -Relevez du texte trois mots relatifs à la célébration et trois autres à la superstition. (1,5 pts)

 

3)  –Recopiez les énoncés suivants et mettez : Vrai ou Faux. (1 pt)

a.    Rares sont les gens qui rendent visite à la voyante.

b.   Le narrateur vient de découvrir sa solitude.

c.    Les riches comme les pauvres viennent consulter la voyante.

d.   Le narrateur distingue à peine les scènes organisées à Dar Chouafa.

 

4)  –« Le soir, il rentre le cœur gros et les yeux rougis, balançant au bout de son petit bras, un piège en fil de cuivre. » (1 pt)

a.    Quel sentiment éprouve le narrateur dans cet énoncé ?

b.   Justifiez votre réponse.

 

5)  Quel est le type de phrase qui domine dans le deuxième paragraphe ? Et pourquoi ? (0,5 pt)

 

6)  Après la relecture du texte : (1,5 pts)

a.    Citez deux locataires de cette maison.

b.   Le narrateur distingue deux classes sociales :

1.     Quelles sont les deux classes ?

2.   A quelle catégorie appartient le narrateur ? Justifiez votre réponse.

 

7)  Cherchez les synonymes des mots suivants dans le texte : (0, 5 pt)

La renommée – Triste

 

8) Quelles figures de style se réalisent dans les groupes suivants : (1,5 pts)

a.    Les pieds nus :

b.   Des nuages de benjoin emplissaient la maison :

c.    plus tristes et plus gris que les jours ordinaires :

 

9)  Le narrateur souligne la pratique de la superstition. êtes-vous pour ou contre ces pratiques ? Justifiez votre choix. (1 pt)

 


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