la boite à merveilles ( chapitre 2)

 

La boite à merveilles :    chapitre 2

 


Les idées et analyses

ü  Le narrateur redoute le mardi (il doit comme tous les écoliers du M’sid, réciter les chapitres de coran appris depuis l’entrée à l’école).

ü  La mère de narrateur se sent malade, lalla aicha lui visite (lalla aicha commence à conseiller la mare de narrateur de rendre visiter au sanctuaire de sidi Ali boughaleb pour conjurer le mauvais œil qui frappe son fils, et boire l’eau miraculeuse)

ü  Au mausolée les deux femmes se mettent à implorer en évoquant leurs problèmes devant le catafalque du saint.

ü  Un chat donne un coup de griffe au narrateur (il est blessé, il ne va pas aller au Ms’id cela le rend heureux)

ü  Driss le teigneux, apprenti du père, vient pour faire les commissions du ménage.

ü  Le narrateur est content (lalla rahma lui offre un petit éléphant en verre, il le ranger dans sa boite à merveille)

Les questions sur le chapitre :

1.    Le mardi est un jour : heureux – ordinaire – néfaste.

2.    Le narrateur-enfant n’aimait pas le mardi car c’était : le jour de récitation – le jour de lessive – le jour de repos.

3.    Lalla Zoubida : souffrait d’une migraine – avait mal au dos – avait de la fièvre.

4.     « La bouilloire sur son brasero entama timidement sa chanson » est : une métaphore – une hyperbole – une personnification.

5.     Lalla Aicha est : une voyante – une ancienne voisine – une amie de rencontre (passagère).

6.     Lalla Aicha remarqua : la pâleur du visage du narrateur – son bonheur – sa gentillesse.

7.    Lalla Zoubida pense que son enfant est malade à cause : - du jeu excessif – des yeux des envieux – de sa solitude.

8.    Lalla Aicha conseilla à Lalla Zoubida : - de consulter Sidi El-Arafi – d’aller à Sidi Ahmed – de visiter Sidi Ali Boughaleb.

9.     La Djellaba que le narrateur portait chaque jour était : Blache – Grise – Verte.

10.   Lalla Aicha était : plus large que haute – aussi Large que haute.

11.   Le sentiment que le narrateur éprouvait envers Lalla Aicha est : - La haine – le respect - le dégout.

12.  Lalla Aicha était : - Sorcière – Chérifa – Voyante.

13.  « … avant de voir surgir de la foule les deux haïks immaculés ».est : - une personnification – une synecdoque – une métaphore.

14.  Sidi Ali Boughaleb aimait tous les êtres et affectionnait en particulier : - les chats – les chiens – les oiseaux.

15.  La mère a donné à la Moqadma : une pièce d’un franc – deux pièces d’un franc – 3 pièces d’un franc.

16.   A la fin de la visite, l’enfant : a été griffé par un chat – s’est évanoui – est tombé malade.

17.  Après s’être réveillé, le narrateur a entendu : deux moineaux – deux chats –deux chiens.

18.  Zineb pleurait car : - Sidi Mohamed l’a frappée au nez – sa mère l’a gratifiée d’une gifle sonore – sa mère a refusée de l’emmener au baptême.

19.   Le narrateur a considéré les salutations matinales des voisines comme : - une prière – une chanson – un boniment.

20.  Le jeudi était ordinairement jour de : - congé – de récitation – de lessive.

21.  Fatma Bziouiya aoffert à SidiMohamed: 2 beignets – 3 beignets – 4 beignets.

22.   Driss le teigneux vint pour : - demander la charité – chercher Mâalem Abdeslam – faire le marché.

23.   Driss le teigneux est : - l’associé de Mâalem Abdeslam – son apprenti – son concurrent.

24.  Mâalem Abdeslam était : tisserand – babouchier – jardinier.

25.   Le narrateur et ses parents pouvaient manger de la viande : - deux à trois fois par semaine – 3 à 4 fois par semaine – 4 à 5 fois par semaine.

26.  Fatma Bziouiya a donnée à Sidi Mohamed : un oignon – un navet – un radis.

27.  Rahma a donnée au narrateur : - un bouton décoré – un cabochon – un cadenas.

28.  La mère a considéré l’objet, offert par Rahma, comme : un simple bout de verre – un objet fabuleux – un ami véritable.

 

Les figures de styles

 

1.    Se yeux n'étaient perméables à aucune pitié.(personnification/métaphore)

2.    Son brasero entama timidement sa chanson.( personnification)

3.    Elle refusa poliment, déclara que ce thé était déjà un véritable printemps.  Lalla Aïcha éprouva toutes sortes de difficultés à s'arracher du matelas où elle gisait. (Métaphore/ hyperbole)

4.    A la maison, elles faisaient trembler les murs en racon­tant les moindres futilités, tellement leurs cordes vocales étaient à toute épreuve ; elles devenaient, dans la rue, aphones et gentiment minaudières. (hyperbole/ antithèse/ chiasme)

5.    /Des bras inconnus me soulevaient du sol, me faisaient passer par-dessus les têtes et je me trouvais finalement dans un espace libre.( personnification)

6.    J'attendais un bon moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks immaculés. (synecdoque)

7.    On y voyait exposés des coqs et des poussins en sucre jaune ornementé de filets roses, des théières transparentes, de minuscules babouches et des soufflets.(Enumération)

8.    Je me tortillais le cou pour regarder une armée de chats qui se livraient à une folle sarabande à l'intérieur de ce temple étrange (hyperbole)

9.    Des femmes arrivèrent de l'extérieur et se joignirent à notre petit groupe pour bénéficier de ce moment de grâce, pour profiter de cette rosée spirituelle qui rafraîchit les cœurs.( métaphore)

10.  je me glissai hors de cet essaim de femmes pour aller caresser un gros matou étalé de tout son long contre le mur. (métaphore)

11.  Je sanglotais à fendre l'âme. (hyperbole)

12.  Toute la maison dormait encore..(métonymie)

13.  Sa mère la gratifia d'une gifle sonore et la noya sous un flot d'injures (métaphore/ antiphrase)

14.  Nous finissions de manger quand sa femme entra dans notre chambre. Elle tenait une assiette de faïence où reposaient deux beignets sfenj.( personnification)

15.  Le couffin contenait outre de l'ail, du persil et quantité de petits paquets d'épices. Nous avions de l'huile, du charbon et de la farine pour tout le mois. (accumulation)

16.  Ma mère, de son côté, connaissait les difficultés de tout le monde, l'état des finances de chaque ménage, les dettes qu'il contractait, ses dépenses de chaque jour et la qualité de son ordinaire.( énumération)

17.  Je me plaquai contre le mur et attendis que les événements décidassent pour moi.( personnification)

18.  Je tenais dans mes mains un objet d'une richesse insoupçonnable.(hyperbole)

 


Enregistrer un commentaire

Post a Comment (0)

Plus récente Plus ancienne