la boite à merveilles ( le chapitre 1 )

 


La boite à merveilles : chapitre 1





Les personnages :
Le narrateur, Chouafa et ses clientes, les enfants de M’Sid, le fqih,Abdallah, zineb, son père, sa mere, lalla rahma…..

Les lieux : dar chouafa le bain maure, M’sid, Derb Nouala

Les idées principales :
Ø  Le narrateur, maintenant adulte se souvient de son enfance, il commence à évoquer la nuit et sa solitude. (il songe de son poids et que sa solitude ne date pas)
Ø  Le narrateur relate qu’il habite avec sa famille à dar chouafa au fond d’une impasse (cette maison porte ce nom parce que une voyante y habite).
Ø  Le narrateur fait une description du rituel du musique de Gnaoua organisé une fois par mois à Dar chouaffa.( le narrateur est attiré par ce qui se déroule à dar chouafa, c’est pour ça, il insiste à décrire ce genre de musique, guimbris et les crotales…)
Ø  L’enfant nous décrit sa personnalité de six est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles.
Ø  À travers les souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante.
Ø  Le narrateur se lève de bonne heure pour aller au M’sid qui situé à la porte de Derb Noualla (au M’sid, il y a un fqih qui est un grand maigre, barbu et coléreux : ça se voit aux ses yeux dit le narrateur)
Ø  Le narrateur refusait/redoutait d’aller au bain maure qu’il compare comme l’enfer (à cause de la promiscuité, l’espèce d’impudeur, espace de vapeur, de rumeurs, en générale il n’aime pas les rituels de bain maure,  )
Ø  Le narrateur aimait courir dans le derb, et prit sa boite à merveilles qu’il en vide.
Ø  la mère du narrateur racontait les disputes qui ont lieu dans le bain maure
Ø  l’imagination de l’enfant nourrie par les récits mythiques d’abdellah l’épicier et le discours de son père sur l’au-delà.
Ø 
 Sidi Mohamed découvre leur vérité, une vérité qui n’est pas toujours rassurante. Contrairement aux enfants de son âge, l’enfant ne se contente pas de regarder. Il veut comprendre : « moi, je ne voulais rien imiter, je voulais connaître. »


Les figures de styles
/Ma solitude ne date pas d’hier. (litote)
2/Le soir, il rentre le cœur gros et les yeux rougis. (métaphore)
3/Les lendemains de ces fêtes étaient des jours mornes, plus tristes et plus gris que les jours ordinaires.(comparaison)
4/Je me levais de bonne heure pour aller au Msid, école Coranique située à deux pas de la maison.(périphrase)
5/Et dans la pénombre de sa grande pièce tendue de cretonne, la chouafa gémissait, se plaignait, conjurait, se desséchait dans des nuages d'encens et de benjoin.(gradation / métaphore)
6/Ma mémoire était une cire fraîche et les moindres événements s'y gravaient en images ineffaçables.(metaphore)
7/Ils aimaient aussi jouer à la bataille, se prendre à la gorge avec des airs d'assassins, crier pour imiter la voix de leur père, s'insulter pour imiter les voisins, commander pour imiter le maître d'école.(énumération)
8/j'étais seul au milieu d'un grouillement de têtes rasées, de nez humides,(synecdoque)
9/un grand maigre à barbe noire, dont les yeux lan­çaient constamment des flammes de colère.(personnification)
10/Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements inexplicables et injustifiés. (gradation)
11/Ma mère fondit sur moi.( hyperbole)
12/Elle me sortit du seau, me jeta dans un coin comme un paquet ( comparaison)
13/(Elle)m'emporta à moitié mort à l'air frais sur l'estrade aux baluchons ( hyperbole)
14/Dans la Boîte à Merveilles il y avait une foule d'objets hétéroclites qui, pour moi seul, avaient un sens  des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous à tête dorée, des encriers vides, des boutons décorés, des boutons sans décor. Il y en avait en matière transparente, en métal, en nacre. Chacun de ces objets me parlait son langage. (énumération)
15/On voyait naître le drame, on le voyait se développer, atteindre son paroxysme et finir dans les embrassades ou dans les larmes.(gradation)
16/Le matin, débordante d'enthousiasme, elle ne manquait jamais, le soir, de trouver quelque motif de querelle ou de pleurs.(hyperbole)
17/Ma mère, se cachant le visage dans ses deux mains, poussa un long sanglot et se mit à pleurer à chaudes larmes. (Hyperbole)
18/Chacune des antagonistes, penchée hors de sa fenêtre, gesticulait dans le vide, crachait des injures que personne ne comprenait, s'arrachait les cheveux. Possédées du démon de la danse, elles faisaient d’étranges contorsions. (métaphore)
19/C’était une tempête, un tremblement de terre, le déchaînement des forces obscures, l’écroulement du monde. (gradation)

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