Des questions
globales sur La Boite a Merveilles
Présentation
1 – Quel est le genre de ce roman ? : Roman policier – Roman de thèse – Roman autobiographique.
2 – Ce roman est écrit en : 1950 –
1951 – 1952.
3 – Il est publié en : 1950 – 1952 –
1954.
4 – Ahmed Sefrioui est né en : 1910 –
1915 – 1921.
5 –Comment s’appelle le narrateur ?
AhmedSefrioui – Sidi Mohammed – Driss ?
6 – Le narrateur-enfant a : 5 ans – 6
ans – 7 ans.
7 – Quel est le problème du
narrateur ? : - la migraine – la fièvre – la solitude ?
8 – Où habite-t-il ? : A Dar
Kitoune – à Dar Idrissiyine – à Dar Chouafa.
9 – Parmi les romans d’Ahmed Sefrioui : - Voyageur sans Bagages – Le Chaplet d’Ambre – Les Misérables.
10 – Ahmed Sefrioui est décédé en :
2004 – 2005 – 2006.
11 – Le contexte historique de
l’histoire : - La Marche Verte – l’indépendance du pays – la colonisation
française.
12 – l’événement perturbateur : la
maladie de l’enfant – la visite de Sidi Ali Boughaleb – la ruine du père.
13 – Nombre de saisons : 2 – 3 – 4
saisons.
14 – Le narrateur aime : l’invisible – le visible – le néant.
Chapitre
1
15 – L’enfant
de 6 ans veut attraper : un moineau - un linot – un chat.
16 – La voyante est adepte de la confrérie de : Gnaouas – Aissawa – Jilala.
17 – Le narrateur
habitait au : 1er étage – 2ème étage – 3ème étage.
18 – Lalla
Kenza était voyante et : Guérisseuse – Neggafa – Sorcière.
19 – La
voyante s’offrait une séance de musique et de danse : 1 fois par mois – 2
fois par mois – 3 fois par mois.
20 – Le
rez-de-chaussée contient : une seule pièce – 2 pièces – 3 pièces.
21 – Rahma
faisait la cuisine : dans la chambre des invités – sur la terrasse – sur
le palier.
22 – Driss
El Aouad est le mari de : Lalla Zoubida – Fatma Bziouiya – Rahma.
23 – Pendant
les mois de trêve, la voyante : voyageait – consultait d’autres voyantes –
s’occupait de sa propre santé.
24 -La période où il n’ya pas de clientes s’appelle : la morte saison – la saison vide – la saison blanche.
25 – « ma
mémoire était une cire fraiche », est : une périphrase – une
métaphore – une comparaison.
26 – Le
narrateur avait un penchant pour : le jeu – l’amusement – le rêve.
27 – Les
autres bambins se contentent : du néant – de l’invisible – du visible.
28 – Abdellah
était : coiffeur – épicier – babouchier.
29 – le
narrateur adulte considère ce roman comme : une cire fraiche – un livre
complet – un album.
30 –Le Msid
était à la porte de : Zenkat Hejjama – Derb Nouala – Riad Jiha.
31 –Pour
emmener l’enfant au bain maure, la mère lui promet : une orange et un œuf
dur – une pomme et un œuf dur – une orange et une pomme.
32 – « je
crois n’avoir jamais mis les pieds dans un bain maure depuis mon enfance »
est un énoncé : ancré – coupé.
33 –Le sentiment que le narrateur éprouve à l’égard du bain maure est : le bonheur – la colère – le malaise.
34 – « je
me demandais ce que pouvaient bien faire toutes ces femmes » est une
interrogation : directe – indirecte.
35 –« devant
moi, il y avait : un peigne, un gobelet de cuire, des oranges… »
est : une gradation – énumération – euphémisme.
36 – « ma mère m’aspergea alternativement d’eau bouillante et d’eau glacée » est une : antiphrase – oxymore – antithèse.
37 – La mère ne
voulait pas s’embarrasser de son enfant, car il était : méchant –
turbulent – empoté.
38 – La
boîte à merveilles : portait secours au narrateur aux heures de chagrin –
lui permettait de dormir – lui permettait de revenir au visible.
39 – Le
lendemain du bain, la mère : pleurait durant toute la journée – tombait
malade – racontait la séance à toutes les voisines.
40 – La
mère est décrite comme : bavarde – silencieuse – pieuse.
41 - Le
bain maure, selon le narrateur, est : un lieu de potins - un lieu reposant
– un lieu de médisance.
42 –Lalla
Zoubida s’est disputée avec Rahma à cause : de la disparition de
Zineb – de la lessive – du bruit fait par Sidi Mohammed.
43 – Le
jour de la dispute était : le dimanche – le lundi – le mardi.
44 – Le
narrateur et sa famille était d’origine : fassie – montagnarde – citadine.
45 – Driss
El-Aouad était : jardinier – fabricant de charrues – tisserand.
46 – « le bruit devint une tempête, un tremblement de terre, l’écroulement du monde » est : une gradation et une hyperbole – une antiphrase et une périphrase – un euphémisme et une hyperbole.
Chapitre 2
47 – Le
mardi est un jour : heureux – ordinaire – néfaste.
48 – Le
narrateur-enfant n’aimait pas le mardi car c’était : le jour de récitation
– le jour de lessive – le jour de repos.
49 –Lalla Zoubida : souffrait d’une migraine – avait mal au dos – avait de la fièvre.
50 – « La
bouilloire sur son brasero entama timidement sa chanson » est : une
métaphore – une hyperbole – une personnification.
51 – Lalla
Aicha est : une voyante – une ancienne voisine – une amie de rencontre
(passagère).
52 – Lalla
Aicha remarqua : la pâleur du visage du narrateur – son bonheur – sa
gentillesse.
53 –Lalla
Zoubida pense que son enfant est malade à cause : - du jeu excessif – des
yeux des envieux – de sa solitude.
54 – Lalla
Aicha conseilla à Lalla Zoubida : - de consulter Sidi El-Arafi – d’aller à
Sidi Ahmed – de visiter Sidi Ali Boughaleb.
55 – La
Djellaba que le narrateur portait chaque jour était : Blache – Grise –
Verte.
56 – Lalla
Aicha était : plus large que haute – aussi Large que haute.
57 – Le
sentiment que le narrateur éprouvait envers Lalla Aicha est : - La haine –
le respect - le dégout.
58 – Lalla
Aicha était : - Sorcière – Chérifa – Voyante.
59 – « …
avant de voir surgir de la foule les deux haïks immaculés ».est : -
une personnification – une synecdoque – une métaphore.
60 – Sidi
Ali Boughaleb aimait tous les êtres et affectionnait en particulier : -
les chats – les chiens – les oiseaux.
61 – La
mère a donné à la Moqadma : une pièce d’un franc – deux pièces d’un franc
– 3 pièces d’un franc.
62 – A
la fin de la visite, l’enfant : a été griffé par un chat – s’est évanoui –
est tombé malade.
63 – Après
s’être réveillé, le narrateur a entendu : deux moineaux – deux chats –deux
chiens.
64 – Zineb
pleurait car : - Sidi Mohamed l’a frappée au nez – sa mère l’a gratifiée
d’une gifle sonore – sa mère a refusée de l’emmener au baptême.
65 – Les
voisins de Dar Chouafa habitaient ensemble depuis : un an – 2 ans – 3 ans.
66 – Le
narrateur a considéré les salutations matinales des voisines comme : - une
prière – une chanson – un boniment.
67 – Le
jeudi était ordinairement jour de : - congé – de récitation – de lessive.
68 –Fatma
Bziouiya aoffert à SidiMohamed: 2 beignets – 3 beignets – 4 beignets.
69 – Driss le teigneux vint pour : - demander la charité – chercher Mâalem Abdeslam – faire le marché.
70 – Driss le
teigneux est : - l’associé de Mâalem Abdeslam – son apprenti – son
concurrent.
71 –Mâalem
Abdeslam était : tisserand – babouchier – jardinier.
72 – Le
narrateur et ses parents pouvaient manger de la viande : - deux à trois
fois par semaine – 3 à 4 fois par semaine – 4 à 5 fois par semaine.
73 – Fatma
Bziouiya a donnée à Sidi Mohamed : un oignon – un navet – un radis.
74 – Rahma
a donnée au narrateur : - un bouton décoré – un cabochon – un cadenas.
75 – La mère a considéré l’objet, offert par Rahma, comme : un simple bout de verre – un objet fabuleux – un ami véritable.
Chapitre 3 :
76 – Le
maître : - était très actif – était très heureux – somnolait.
77 – Avant
de quitter le Msid, les élèves doivent : réciter trois versets pour chacun
– réciter la première sourate – faire les ablutions.
78 – Le Vendredi, les élèves doivent réciter quelque vers de : - El Imam Ali – Abou Achir – BnouAchir.
80 – «
une lampe à pétrole identique à celle de notre voisine » est : - une
métaphore – une personnification – une comparaison.
81 – Rahma
pleurait car : - son mari est décédé – Zineb a disparue –Lalla Zoubida l’a
insultée.
82 – Rahma
est sortie pour aller assister à : - un mariage – un bal – un baptême.
83 – Sidi
Mohamed pleurait car : - Zineb a disparue – il était malade – il avait
faim.
84 – Qui
a trouvé Zineb ? : - Fatma Bziouiya – Lalla Zoubida – Fatma Bziouiya
et Lalla Zoubida.
85 – Zineb
était trouvée à : Dar Kitoune – Dar Chouafa – Dar Ttofoula.
86 – Rahma
a préparé : - un repas pour les mendiants – un repas pour sa fille Zineb –
un repas pour les enfants.
87 – Les hôtes de Rahma étaient : - des vieux – des enfants – des aveugles.
Chapitre 4
88 – C’était
les premiers jours : - de l’hiver – du printemps –de l’été.
89 – Lalla
Zoubida et son fils ont rendu visite à : Lalla Aicha – Lalla Khadija –
Lalla Salama.
90 – Sa
mère avait : - 22 ans – 32 ans – 42 ans.
91 – Les
enfants ont joué : - aux cartes – au Ballon – à la mariée.
100 – Le
jeu a été terminé par : - des applaudissements – des compliments – une
dispute.
101 – Fatma
Bziouiya avait : - un tatouage sur le menton – une balafre sur la joue –
une cicatrice sur le front.
102 – Le
Mari de Lalla Aicha s’appelle : - Allal – Moulay Abdelkader – Moulay
Larbi.
103 – Quelle
était la formule sacrée employée par les hommes ? : - Puis-je
entrer ? – Puis-je passer ? – Puis-je sortir ?
104 – En
attendant le retour de Lalla Aicha, Lalla Zoubida se leva pour : - revenir
à sa maison – regarder par la fenêtre – préparer le déjeuner.
105 – Après
être revenue, Lalla Aicha commence à : - Rire – sourire largement –
pleurer.
106 – Dans
la conversation des deux femmes, l’enfant a entendu le mot : - Ogre –
Voleur – Pacha.
107 – Moulay
Larbi a été trahi par son associé : Abdelkader – Abdeslam – Abdennabi.
108 – quelle
est la somme que Moulay Larbi a versé à son associé Abdelkader ? : 60
Rials – 70 Rials – 80 Rials.
109 – le
chat de Zineb est décrit comme : maladif – méchant – doux.
110 – la
boite à merveilles permet au narrateur de : s’évader du monde réel – de
jouer avec ses camarades – de s’évader du monde invisible.
111 – Abdellah
était : fabricant de charrues – épicier –tisserand.
112 –Lahbib a jeûné plus d’une semaine : pour se purifier de son mensonge – pour se purifier de sa colère – pour l’amour d’Allah.
Chapitre 5
113 – le
maître du Msid est heureux car : c’est le jour de Achoura – il ira au
pèlerinage – la fête de Achoura approche.
114 – à
son retour, sa mère était : absente – malade – malheureuse.
117 – Lalla
Aicha, pour aider son mari : a fait une dette de son ami Zoubida – a
visité Sidi Ali Boughaleb – a vendu ses bijoux et son mobilier.
118 – le
narrateur relate le souvenir de la mort de : Sidi Mohammed Ben Tahar –
Lahbib et Abdennabi – Abdellah l’épicier.
119 – le
défunt était : babouchier – coiffeur – Fquih.
120- Lalla
Zoubida a donné à son fils : un soufflet – un cadeau – un beignet.
121 – Sidi
Mohamed a envoyé à Zineb un coup de poing : sur le front – sur les yeux –
sur le nez.
122 – « des
torrents de larme lui inondèrent le visage » est : une hyperbole –
une comparaison – une synecdoque.
123 – Moulay
Abdeslam a raconté une histoire à son fils pour : lui décrire une tombe –
pour le consoler – pour lui faire découvrir les secrets de la mort.
124 – la
nuit, le narrateur : a bien dormi – a veillé tard – avait de la fièvre.
125 – le
cadeau offert par la mère à Sidi Mohamed était : un cabochon – un clou
taillé – une chaînette de cuivre.
126 – le
chat de Zineb : a volé la chaînette du narrateur – a griffé le narrateur –
a dormi sur les genoux du narrateur.
127 – une dispute s’est éclatée entre : Lalla Zoubida et Rahma – Zineb et le narrateur – Moulay Larbi et son associé
Chapitre 6
128- le
nombre des marches du Msid est : 2 – 3 – 4 marches.
129 – le
narrateur relate le souvenir de : - la fête de sacrifice – la fête du
trône – la fête de Achoura.
130 – le
narrateur se sent : - d’une tristesse profonde – très heureux – d’une
inquiétude incomparable.
131 – Sur
la terrasse, l’enfant a joué : - avec une baguette – avec chaînette – avec
ses objets.
132 – La
mère a traité son fils de juif et de chien galeux car : - il s’est disputé
avec Zineb – il n’a pas voulu aller à l’école – il
s’est tardé en jouant sur la terrasse.
133 – Le
narrateur n’est pas allé au Msid car : - il irait avec sa mère au marché
des tissus – car il était malade – car c’était un jour de congé.
134 – La
mère a acheté à son fils : - une chemise neuve et un gilet – une Djellaba
blanche et un gilet – une chemise neuve et une Djellaba.
135 – Le
narrateur rêve de devenir : - un roi – un instituteur – un prince.
136 – Le
narrateur s’est disputé avec Zineb car : - elle lui a fait une grimace –
elle lui a volé sa chaînette – elle lui a volé son gilet.
137 –La
femme qui chantait les lambeaux d’une cantilène s’appelait : Fatma
Bziouiya – Lalla Khadija – Rahma.
138 – L’oncle
Othman est le mari de : Salma – La vieille négresse – Khadija.
139 – Qui
a raconté l’histoire de l’oncle Othman : - Fatma Bziouiya – Lalla Khadija
– Rahma.
140 – Oncle Othman traite sa femme Khadija comme : - sa sœur – sa mère – sa fille.
Chapitre 7
141 – La
mère du narrateur a fait l’acquisition : - d’un tambour – d’une taârija –
d’une trompette.
142 – Le
narrateur a comparé Zineb à : - une aveugle – une muette – une sourde.
143 – La
figure de style employée dans cette expression : « Ma mère me pria de
monter sur la terrasse, braire tout à mon aise », est : - une
hyperbole – une métaphore – une comparaison.
144 – L’élève
envoyé par le Fquih s’appelle : Sidi Mohamed – Lahbib – Azzouz.
145 – Sidi
Mohamed doit aller au Msid : - pour travailler – pour jouer – pour lire le
Coran.
146 – La
mission accomplie par les enfants au Msid correspond à : - La préparation
du chaux – la préparation des mattes – la préparation des lustres.
147 –L’enfant
qui s’est coupé le pouce avec une lamelle s’appelle : - Sidi Mohamed –
Lahbib – Azzouz.
148 – Le
narrateur a trouvé sa mère très ennuyée car : - Mâalem Abdeslam est malade
– Elle a de la migraine – il n’y avait plus de pétrole dans la lampe.
149 – Qui
a rendu service à Lalla Zoubida : - Allal le jardinier – Driss El-Aouad –
Driss le teigneux ?
150 – Lalla
Kenza a demandé à Lalla Zoubida : un brin de menthe – une poignée de thé –
une bougie.
151 – Lalla
Kenza a donné au narrateur : - une poignée de grains de sésame – un radis
– une orange et un œuf dure.
152 – Qu’est-ce
qui inquiète le narrateur dans sa sortie avec son père ? : - La
séance du Coran – la séance du coiffeur – la séance du bain maure.
153 – Le
père a acheté à son fils : - 1 jouet – 2 jouets – 3 jouets.
154 –« Je
lui posais mille questions » est : -une métaphore – un oxymore – une
hyperbole.
155 – Le
coiffeur s’appelle : - Si Abderrahmane – Si Ahmed – Oncle Hammad.
156 –Bnou
Achir est : - un babouchier – un coiffeur – un tisserand.
157 – Le
cierge acheté par le père à son fils était destiné : - à la mère – à Lalla
Kenza – au Fquih.
158 –L’oncle
Hammad était : - malade – heureux – ennuyé.
159 – « Elles
nous conseillèrent d’aller sur la terrasse charmer les oreilles des
voisins » est : - une anaphore – une périphrase – une antiphrase.
160 – Le
cadeau offert au Fquih était : - un cierge et deux francs – un cierge et
cinq francs – un cierge et sept francs.
161 – «
Les petites flammes dansaient » est : - une personnification – une
métaphore – une hyperbole.
162 – Qui a rendu visite à la mère du narrateur ? : - Fatma Bziouiya – Rahma – Lalla Aicha.
Chapitre 8
163 – Les
insectes et les mouches ont envahi la maison à cause de : - la saleté – la
chaleur – la pollution.
164 – L’école
fut installée dans : - un village plus proche – une Zaouiya – un
sanctuaire.
165 – Les
jeunes filles visitaient le mausolée (où s’est installée l’école) pour : -
se marier – se débarrasser de leurs maux – faire des invocations.
166 –« La
petite fontaine circulaire chantonnait dans un coin » est : - une
métaphore – une anaphore – une personnification.
167 – Le
père a emmené sa femme et son fils au : - Souk des tissus – Souk des
bijoux – Souk des épices.
168 – Le
jour où le narrateur est sorti avec ses parents était : - Lundi – Mardi –
Jeudi.
169 – Le
père est sorti avec sa femme et son fils pour acheter : - une chemise à
son fils – des épices et des provisions - Un bracelets à sa femme.
170 – Le
père annonce la mort de : - La mère de Allal – La mère de Driss El-Aouad –
La mère de Driss le teigneux.
171 – « Les
bijoux, c’est beau comme les fleurs » est : - Une comparaison – Une
hyperbole – Une personnification.
172 – « Le
souk des bijoutiers ressemblait à l’entrée d’une fourmilière » est :
- Une comparaison – Une hyperbole – Une personnification.
173 – Qui
est sortie avec le narrateur et ses parents : - Rahma – Fatma Bziouiya –
Lalla Aicha.
174 – Le
malheur du jour était : - la ruine du père – la dispute du père avec un
courtier – la maladie de l’enfant.
175 – La
mère a refusé ses bracelets car : - ils sont de mauvaise augure – ils sont
moins chers – ils ne sont pas de bonne qualité.
176 – Zoubida
a pensé que les bracelets achetés par son mari sont : - des bijoux
fabuleux – des porte-malheur – le meilleur cadeau qu’on lui a offert.
177 – Moulay
Larbi (le mari de Lalla Aicha) : - a épousé une seconde femme – s’est
disputé avec son associé Abdelkader – a perdu tout son capital.
178 –Le
père de la nouvelle épouse (de Moulay Larbi) s’appelle : - Oncle Othman –
Abderrahmane – Si Allal.
179 – Le narrateur Sidi Mohamed : - a dormi profondément – est tombé malade – s’est cassé le doigt.
Chapitre 9
180 – La
mère a préparé à son fils : - un plat de ragoût – un bol de bouillon – des
beignets.
181 – Le
malheur de la famille du narrateur est : - la ruine du père – la maladie
de Sidi Mohamed – la dispute de la mère avec les voisines.
182 – La
mère se lamente parce que : - son fils est malade – Rahma l’a insulté –
son mari s’est ruiné.
183 – Le
père a perdu son capital : - dans la cohue des enchères aux haïks – au
souk des bijoux – sur son chemin à la mosquée.
184 – Que
décide le père : - travailler comme ouvrier dans un atelier – travailler
comme moissonneur – vendre tout le mobilier de la maison.
185 – La
mère a considéré ses bracelets comme : - bénis – précieux – maudits.
186 –Le
père quitterait sa famille pendant : - un mois – 2 mois – 3 mois.
187 – Le
père a quitté sa famille : - à l’aube – à midi – à minuit.
188 – Fatma
Bziouiya a donné à Sidi Mohamed : - 2 beignets – un beau radis – un bol de
potage.
189 – «
Le bruit de ses narines me rappela le son de la trompette du Ramadan »
est : - une hyperbole – une comparaison – une métaphore.
190 – Sidi
Mohamed est allé avec sa mère à : - Sidi Ahmed Tijani - Sidi Ali Boughaleb
– Sidi Ali Bousserghine.
191 – Sidi Mohamed, sa mère et Lalla Aicha ont visité : Sidi Ahmed Tijani – Sidi Ali Boughaleb – Sidi El-Arfi.
Chapitre 10
192 – «
Lalla Aicha se mit à respirer comme un soufflet de forge » est :- une
comparaison – Une métaphore – Une personnification.
193 –« Sidi
El-Arfi » était : - sourd – muet – aveugle.
194 – Sidi
El-Arfi a conseillé au narrateur de réciter souvent : - Le premier
chapitre du Coran – Le verset du trône – Le chapitre de « ELBAQARA ».
195 – La
femme de Sidi El-Arfi parlait avec l’accent de : - Tafilalet – Jbala – El
Khmissat.
196 – Sidi
El-Arafi a demandé à sa femme : - un panier – une bol – un œuf et une
assiette.
197 –Sidi
Mohamed met la main dans le panier de Sidi El-Arfi et fait sortir : - une
perle noir – une boule de verre – un minuscule coquillage.
198 – Lalla
Aicha a fait sortir (du panier) : - une perle noir – une boule de verre –
un minuscule coquillage.
199 – Lalla
Zoubida a fait sortir (du panier) : - une perle noir – une boule de verre
– un minuscule coquillage.
200 – L’enfant
s’est caché dans les plis du haïk de sa mère car : - il a vu passer le
Fquih –il avait peur d’un aveugle – il peur de la femme de Sidi El-Arfi.
201 – « mon
teint rappelait l’écorce de grenade » est : - une comparaison –
Une métaphore – Une personnification.
202 – Le messager envoyé par le père apporte : - une lettre et un poulet – des provisions et de l’argent – une bouteille d’huile et des œufs.
Chapitre 11
203 – La
femme qui avait la voix d’homme s’appelait : - Mbarka – Khadija – Salama.
204 – La
nouvelle visiteuse était : - une voyante – une marieuse professionnelle –
une neggafa professionnelle.
205 –Salama
est venue pour annoncer : - une bonne nouvelle – un grand malheur – une
mauvaise surprise.
206 – La
jeune fille qui s’est mêlé à la conversation : s’appelle : - Khadija
– Salima – Zhor.
207 – La bonne nouvelle annoncé par les deux visiteuses est : - Moulay Larbi a l’intention de répudier la fille du coiffeur – le père du narrateur est revenu de la compagne –Sidi Mohamed apprend vite le Coran.
Chapitre 12
208 - Le
petit enfant envoyé par le Fquih s’appelle : Hammoussa – Allal – Azzouz
Berrada.
209 – le
Fquih a envoyé un enfant au narrateur : pour lui demander de revenir au
Msid – pour lui offrir un cadeau – pour prendre de ses nouvelles.
210 – quelle
est la bonne nouvelle dans ce chapitre ? : Le retour du père – la
guérison de l’enfant – la visite de Sidi El-Arafi ?
211 – qui
a annoncé la bonne nouvelle ? : Hammoussa – Zineb – Allal
Elyaakoubi ?
212 – le
père tenait : 2 poulets – 3 poulets – 4 poulets.
213 – la
personne qui est venue discuter avec le père du narrateur est : Driss
El-Aouad – Driss le teigneux – Allal le jardinier.
214 – la
bonne nouvelle de Lalla Aicha est : l’achat d’une nouvelle maison – le
divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur – la mort de la fille du
coiffeur.
215 – qui
a annoncé la bonne nouvelle de Lalla Aicha : Moulay Larbi - Driss El-Aouad
– Driss le teigneux.
216 – pendant la conversation des deux hommes, l’enfant : a ouvert sa boite à merveilles – jouait avec Zineb – s’est évanoui.
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