les idées principales du bourgeois gentilhomme.
premier partie:
- La scène se passe dans les salons de Monsieur Jourdain, le Bourgeois Gentilhomme.
- Le maître de musique et le maître de danse entrent. Ils sont accompagnés de musiciens et de danseurs.
- Le premier estime que la richesse d'un client comme le Bourgeois est une manne non négligeable pour les artistes. Le maître à danser est de cet avis mais regrette toutefois le manque de références de Monsieur Jourdain en ce qui concerne son art
- Le maître de musique propose un concert toutes les semaines, comme les gens de qualité.
- M. Jourdain danse mal, d'une façon hors cadence et sans grâce.
- M. Jourdain veut apprendre à faire une révérence pour saluer une marquise. Cela est amusant parce que le maître à danser lui enseigne une révérence trop compliquée et exagérée.
- On imagine que les actions de M. Jourdain pendant la leçon des armes sont maladroites.
- Selon le maître d'armes, les armes sont supérieures à la musique et à la danse et les rendent inutiles.
- La conversation entre les trois maîtres est faite d'insultes et devient une bagarre.
- M. Jourdain n'a pas appris la leçon du maître d'armes parce qu'il n'arrive pas à arrêter la querelle.
- Le maître de philosophie utilise des arguments philosophiques pour la modération et la patience, pour la sagesse et la vertu, et contre la colère, un argument qui ne réussit pas à résoudre la querelle.
- Quand le maître de philosophie voit que sa profession n'a pas le respect des autres, il recommence la bagarre, une réaction compréhensible parce que tout maître appréciera mieux sa profession aux autres
- Les connaissances de M. Jourdain sont limitées; il sait lire et écrire.
- Le maître de philosophie propose à M. Jourdain la logique.Le maître de philosophie propose à M. Jourdain la morale et la physique, mais M. Jourdain est trop coléreux pour la morale et la physique est trop complexe.
deuxième partie:
- M. Jourdain choisit d'étudier l'orthographe parce que c'est un sujet utile, ordinaire et simple.
- Dans la leçon d'orthographe, M. Jourdain apprend les lettres et les sons et il est enthousiaste de les apprendre.
- Le ridicule de la leçon d'orthographe se trouve dans le décalage entre l'enthousiasme de M. Jourdain et la simplicité de la leçon aussi bien que dans la prononciation exagérée et répétée des sons.
- M. Jourdain demande au maître de philosophie d'écrire un billet amoureux pour une dame.
- L'ignorance de M. Jourdain se montre dans cette conversation au sujet du billet parce qu'il ne sait pas ce que c'est que le vers et la prose.
- Le tailleur ne prend pas M. Jourdain au sérieux et rejette toutes ses plaintes à propos des habits qu'il a préparés pour M. Jourdain. Par exemple, les bas vont s'élargir plus tard et M. Jourdain imagine que les souliers lui blessent.
- Les garçons tailleurs appellent M. Jourdain "mon gentilhomme" (un noble), "monseigneur" (un grand noble), puis "votre grandeur" (pour les grands seigneurs) et M. Jourdain en est très flatté et les récompense en leur donnant un pourboire
- Dorimène est enthousiasmé par le repas. Monsieur Jourdain et Dorante flattent la marquise. Mais Dorante prend toujours soin d’avoir un temps d’avance sur son rival.
- Madame Jourdain arrive sur ces entrefaites et reproche à son mari de courtiser une autre femme.
- Dorante saute sur cette occasion en déclarant devant tous que le repas a été organisé par ses soins et que monsieur Jourdain ne fait que prêter sa demeure. Madame Jourdain se tourne vers Dorimène en lui reprochant de vouloir briser son mariage. La marquise est offusquée et quitte la table, suivie par Dorante.
- Cléante veut épouser la fille de Mr Jourdain (Lucile). Mais ce dernier refuse par ce qu’il cherche un homme noble, remarquable à sa fille.
- Le valet Covielle rencontre Dorante et lui explique la machination mise au point pour faire épouser Cléonte à Lucile. Il lui demande son aide.
troisième partie:
|
Enregistrer un commentaire