Le dernier jour d’un condamné
II. Chapitre 2
·
Le narrateur relate les événements passés le jour de la proclamation de sa
condamnation à mort.
·
Il décrit aussi les juges, les jurés, la salle d’audience, l’atmosphère qui
y régnait et les gens qui ont assisté à
son procès. Séduit par les lumières, par les couleurs, par les bruits.
·
le narrateur chante la vie à travers ses sensations et ses impressions dans
une ambiance totalement contradictoire.
·
Il semble apprécier la vie dans toutes ses dimensions, les jurés le
condamnent à mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste à ses
yeux.
III. CHAPITRE
3
·
Le condamné semble accepter ce verdict.
·
Il ne regrette pas trop de choses dans cette vie où
tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.
IV. CHAPITRE 4
·
Le condamné est transféré à Bicêtre.
·
Il décrit brièvement cette hideuse prison.de loin,
ressemble à un château de roi mais, de près, c’est un lieu hideux.
V. CHAPITRE 5
·
Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison.
·
Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier
grâce à sa docilité et à quelques mots de latin.
·
Il nous parle ensuite de l’argot pratiqué en prison.
VI. CHAPITRE 6
·
Dans un monologue intérieur,
·
le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à
écrire. D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses.
Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il
s’agit de condamner quelqu’un à mort. Enfin C’est sa contribution à lui pour
abolir la peine capitale.
VII. CHAPITRE
7
·
Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en
sauvant d’autres têtes alors qu’il ne peut sauver la sienne.
VIII. CHAPITRE
8
·
Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à
vivre.
·
Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il
ne lui reste presque rien.
IX. CHAPITRE 9
·
Notre prisonnier vient de faire son testament.
·
Il pense aux personnes qu’il laisse derrière lui : sa
mère, sa femme et sa petite fille. C’est pour cette dernière qu’il s’inquiète
le plus.
X. CHAPITRE 10
·
Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de
fenêtres.
·
Il décrit aussi
le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois
premiers cabanons sont réservés aux condamnés à la peine capitale.
XI. CHAPITRE
11
·
Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous
décrire les murs de sa cellule pleins d’inscriptions, traces laissées par
d’autres prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.
XII. CHAPITRE
12
·
Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions
murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette
triste cellule.
Chapitre XIII (13)
Evènement
précédents:
En attendant la réponse du
tribunal, au sujet de son pourvoi en cassation, le condamné est préoccupé par
l’avenir de sa petite fille Marie et par sa mort sanglante. Il occupe aussi son
temps à lire les graffitis sur les murs de son cachot. Il reconnaît les noms
d’anciens criminels très connus, qui ont occupé la même cellule que lui. Il
refuse de s’identifier à eux. Effrayé, il commence à halluciner et à imaginer
leurs spectres dans sa cellule.
II- Analyse
Le spectacle du ferrage :
A-
Placé dans une cellule,
« comme un roi dans sa loge », le condamné assiste au ferrage des
forçats en prévision de leur transfert à Toulon. Il suit leur amusement avec
avidité, curiosité et attention. C’était une occasion pour lui de se distraire
de sa solitude et de sa souffrance ; « une bonne fortune qu’un
spectacle si odieux qu’il fut ».
La description de ce spectacle est menée grâce à deux champs lexicaux :
la fête et le théâtre.
Le champs lexical de la
fête : danser, chanter, rire, acclamation, fête de famille…
Le champ lexical de
théâtre : Le théâtre : Bicêtre, La scène : la cour ;
L’éclairage : la lanterne ; Le rideau : la porte ; Les
acteurs : les forçats, les gardes, les médecins ; Les
spectateurs : les prisonniers, les curieux de Paris, les geôliers.
L’impact du
spectacle sur le condamné :
Devant le spectacle des forçats,
le condamné éprouvait beaucoup d’émotions : il fut muet, étonné, attentif
puis terrifié Enfin, chagriné, avec un sentiment de pitié qui le remuait
jusqu’aux entrailles ; leurs rires le faisait pleurer.
Quand le spectateur devient objet de
spectacle :
Le condamné, se voit tout à coup
transformer en objet de spectacle. Tous les forçats tournèrent leurs yeux vers
la fenêtre qu’il occupait. Ils l’acclamaient, le saluaient, l’enviaient même.
Ils finissent par se ruer vers lui. Frissonnant, pétrifié, il resta immobile,
perché, paralysé, se jeta sur la porte essayant de sortir mais finit par
s’évanouir dans un cri d’angoisse.
Conclusion :
Victor Hugo évoque ici la
dimension spectaculaire des pratiques carcérales et de la peine capitale, dans
le but de sensibiliser le lecteur en le poussant à réfléchir et à agir contre ces
pratiques. De même, il dénonce la condition et le mauvais traitement des
prisonniers dans le milieu carcéral
Chapitre 14
ü Après s’être transporté à
l’infirmerie où il avait
senti un peu de liberté,
ü
le narrateur a repris connaissance, il s’est enroulé ensuite dans ses draps
et sa couverture dont la chaleur lui a donné l’envie de se rendormir.
ü
le bruit de cinq charrettes
transportant les forçats le réveille. Conduit par des gendarmes à cheval et des
argousins à pieds, le convoi prend départ pour un voyage de vingt-cinq jours de
souffrances et de misères. Emu par ce spectacle désolant,
ü le narrateur préfère la guillotine à
la galère.
chapitre 15
ü le narrateur est remis dans son
cachot, il souhaite qu’il soit encore malade pour rester quelque temps encore à
l’infirmerie. (Malheureusement, il est jeune, sain et fort)
ü Il avoue qu’il souffre d’une vraie
maladie mais cette dernière est faite de la main des hommes (la justice).
ü
L’idée de sa condamnation continue de le torturer moralement au point où il
espère de s’enfuir mais il a besoin de l’aide des médecins, les sœurs de
charité.
ü Le pourvoi qu’il attend, le condamné
se croit qu’il sera rejeté parce que tout est en règle. (il a donné la
tonalité ironique et figure de style l’antiphrase mon pourvoi….plus
d’espérance)
ü La grâce royale (je n’ai plus que
trois pas à faire : Bicêtre, la conciergerie, la Grève.) impossible de lui
faire grâce.
Chapitre 16
ü Quand le narrateur était à l’infirmerie,
il avait entendu la voix d’une jeune fille de quinze ans chanter une chanson,
voire une complainte (pure, fraiche, veloutée) les paroles sont
horrible, transforment un épouvantable message d’assassinat et de mort.
ü La réaction du narrateur Il fut terrifié parce
que tout est prison à Bicêtre, tout lui rappelle la mort. (j’en suis resté
navré, glacé, anéanti).
ü La tonalité pathétique (à cause de désappointement)
ü
Champs
lexicaux : chanson : (voix, paroles, bouche..) horreur :
horrible, hideux, épouvantable) émotion : langoureux,
désappointement, blessé...)
Chapitre 17
ü Le narrateur rêve d’évasion, il nous
raconte comment il va s’évader (les lieux passés : courir jusqu’au marché,
passer la nuit au collège, reprendre sa course jusqu’à Longjumeau.) son
rêve ne peut être réalisé car va s’arrêter quand un gendarme lui demande un
passeport.
ü il est interrompu par l’idée de
l’incarcération et de la condamnation.
Chapitre 18
ü
Le condamné écrit jusqu’à six heures du matin. Le guichetier
de garde entre dans le cachot, le salue poliment, et d’une voix adoucie lui
demande ce qu’il désire à déjeuner. Notre prisonnier comprend que c’est
aujourd’hui qu’il sera donc exécuté. (tonalité ironique)
Chapitre 19
ü Le directeur de la prison rend visite
au narrateur dans son cachot pour lui demander s’il se plaint d’un quelconque
mauvais traitement. Pris de panique, le narrateur croit que l’heure de son
exécution est venue.
Chapitre 20
ü Autour du
condamné, tout est prison, A ses yeux, la prison pend plusieurs formes .les
murs (prison de pierre), les portes (prison en bois), les guichetiers (prison
en chair et en os).. Il se demande ensuite ce qu’ils vont faire de lui, et ce
qu’il deviendra.
Chapitre 21
ü A six heures et demie du
matin le narrateur a été visité dans son cachot par un prêtre, le condamné
n’est pas intéressé par ses paroles.
il demande de condamné s’il est préparé, il veut savoir s’il est prêt à mourir,
le condamné répond qu’il ne l’est pas.
ü l’huissier (officier ministériel
chargé de signifier les actes de procédure et de mettre à exécution les
jugements de la Cour royale de Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande
du pourvoi en cassation et son transfert à la Conciergerie).
XXII. CHAPITRE 22
ü
Apres
avoir que l’huissier est venu annoncer le rejet du pourvoi en cassation le
prisonnier (condamné) est transféré à la
Conciergerie.
ü
Il nous
conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l’huissier qui
est indiffèrent pendant le trajet.
ü
Il se montre peu bavard et parait plutôt
pensif. À huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour.
ü Les champs lexicaux : Le voyage : la rue, chemin, cariole, roulement,
Conciergerie.
La terreur : noir, sinistre glacé, cœur allait
s’arrêter.
La condamnation : soldat, cachot, Conciergerie.
ü La
tonalité : (pathétique, tragique)
XXIII. CHAPITRE 23
ü
Une fois arrivé au Palais de Justice, le narrateur s’est senti investi
d’une certaine liberté qui n’a pas tardé à disparaître à la vue des sous-sols.
Remis par l’huissier au directeur.
ü
A l’intérieur du récit fait par le condamné, on découvre un autre récit
autobiographique fait par le friauche (homme vieux, sale, n’inspirant aucune
confiance, son regard louche, sourire amer et éclats de rire), il raconte sa
vie criminelle, ses tentatives de changement de façon vulgaire et aussi
satirique. Il se transforme progressivement en criminel, récidiviste, galérien
pour devenir condamné à mort.
ü
Friauche confirme que les causes sont familiales ( ni père ni mère)
économique (je faisais la roue au bout des routes pour un sou) sociale (
j’offrais mes journées pour 15 ou 5 sous) il attend à son tour pour se transférer
à Bicêtre.
ü
Après avoir entendu l’histoire du vieux, le narrateur a échangé, par peur,
sa redingote contre la veste du vieillard. Enfin il est reconduit à une chambre
dans l’attente de son exécution.
ü
Tonalité : (pathétique, satirique, ironique)
XXIV. CHAPITRE 24
ü Le narrateur est enragé , regrette amèrement l’échange de sa redingote qui n’était que par peur.
XXV. CHAPITRE 25
ü Le condamné est transféré dans une autre cellule.
ü On lui apporte, sur sa demande une
chaise, une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit.
ü on a installé avec lui un gendarme
pour empêcher toute tentative du suicide.
XXVI. CHAPITRE 26
ü Il est dix heures. Le narrateur a écrit une lettre à sa fille dans laquelle
il exprime toute sa douleur et son amertume.
ü Il accuse les hommes de vouloir
laisser une enfant de trois ans orphelin.
ü L’attente de l’exécution semble
exercer un effet terrifiant sur le narrateur qui espère un miracle pour le
sauver.
XXVII. CHAPITRE 27
ü Le narrateur se demande comment on
pouvait mourir sur l’échafaud.
ü il est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point où il n’ose pas
écrire le mot « guillotine ».
ü Il imagine que son exécution sera
atroce.
XXVIII. CHAPITRE 28
ü Il se rappelle ayant déjà assisté à une exécution
un matin par la portière d’une voiture
ü le narrateur imagine comment sera la sienne. Il croit que les
préparatifs ont déjà commencé par le graissage de la rainure.
XXIX. CHAPITRE 29
ü Le jeune détenu pense à cette
grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères (travaux
forcés) seraient une meilleure solution en attendant qu’un jour arrive la
grâce.
XXX. CHAPITRE 30
ü Le prêtre vient
consoler le condamné, après un court dialogue, le narrateur est seul de nouveau
dans sa chambre. Il aurait préféré être consolé par un autre prêtre qui vient
de l’extérieur, qui n’a rien à voir avec Bicêtre et la conciergerie, parce que
celui qui vient de sortir est tellement habitué à la consolation des condamné
que ses mots manquent de chaleur et d’accent. On apporte de la nourriture au
condamné, mais il ne peut pas manger, tant le repas lui semblait amer.
ü XXXI. CHAPITRE 31
ü Dans ces derniers moments de
retranchement, l’architecte de la prison est entré dans la cellule où se trouve
le narrateur pour prendre des mesures afin de rénover les murs l’année suivante
puis il échange des propos avec le narrateur avant de se faire renvoyé par le
gendarme.
ü XXXII. CHAPITRE 32
ü Un autre gendarme vient prendre la relève. Il
est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son
exécution pour lui révéler les trois bons numéros gagnants à la loterie. Le
condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses
vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut
s’évader.
ü XXXIII. CHAPITRE 33
ü Le narrateur sentant l’heure de la
mort approcher se réfugie dans le rêve. Il retrouve des souvenirs d’enfance et
de jeunesse en compagnie de sa bien-aimée la petite Espagnole Pepa. Il garde
surtout le souvenir d’une soirée passée ensemble où ils sont échangés des
bises.
ü XXXIV. CHAPITRE 34
ü Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le
condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, tente de se repentir. Malheureusement il n’a pas le
temps de le faire. il y a une rivière de sang : le sang de
l’autre (sa victime) et le sien (le coupable).
ü XXXV. CHAPITRE 35
ü Le narrateur pense à toutes ces personnes qui
continuent toujours à vivre le plus normalement au monde.
ü XXXVI. CHAPITRE 36
ü Le narrateur se rappelle le jour où
il est allé voir la cathédrale Notre-Dame de Paris. Au moment où il est arrivé
au sommet de la tour, la cloche a sonné et a fait trembler tout le toit.
Heureusement il a évité une chute mortelle.
ü XXXVII. CHAPITRE 37
ü Le narrateur revoit l’Hôtel de Ville
dont l’aspect triste lui rappelle la Grève au moment des exécutions avec les
rassemblements des spectateurs.
ü XXXVIII. CHAPITRE 38
ü Il est une heure le quart. Le condamné éprouve
une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante-cinq
à vivre.
ü XXXIX. CHAPITRE 39
ü On dit que sous la guillotine, on ne souffre
pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une
telle chose puisqu’aucun condamné déjà exécuté ne peut l’affirmer.
ü XL. CHAPITRE 40
ü Le jeune détenu pense au roi. C’est de lui que
viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d’une signature. Il espère
toujours.
ü XLI. CHAPITRE 41
ü Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il
va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à
baiser.
ü XLII. CHAPITRE 42
ü Après l’arrivée du prêtre, le
narrateur a dormi pendant quelques instants. Il a fait alors un rêve étrange :
il rêve qu’il était chez lui avec des amis, qu’ils avaient parlé de quelque
chose qui les avait effrayés puis ils avaient entendu un bruit dans la maison,
c’était une vielle femme qui s’était cachée dans la cuisine. Au moment où il a
rêvé que la vielle le mordait, il s’est réveillé puis on lui a annoncé la
présence de sa fille.
ü XLIII. CHAPITRE 43
ü La petite Marie vient rendre visite à son
père. Ce dernier est choqué devant la fraîcheur de la belle petite fille qui ne
le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout
espoir.
ü XLIV. CHAPITRE 44
ü Le détenu a une heure devant lui pour
s’habituer à la mort. La visite de sa fille l’a poussé dans le désespoir.
ü XLV. CHAPITRE 45
ü Il pense au peuple qui viendra assister au «
spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y
a peut-être des têtes qui le suivront, sans le savoir, dans sa fatale destination.
ü XLVI. CHAPITRE 46
ü La petite Marie vient de partir. Le père se
demande s’il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifier
aux yeux de sa fille.
ü XLVII. CHAPITRE 47
ü Ce chapitre comporte une note de l’éditeur :
les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut-être que le
condamné n’a pas eu le temps de les écrire.
ü XLVIII. CHAPITRE 48
L’heure de l’exécution est arrivé, on demande au
narrateur de se préparer mais il se sent faible. On l’a emmené dans une chambre
au rez-de-chaussée du palais de Justice où son bourreau avec ses deux valets
l’attendait. On lui a coupé les cheveux puis on lui a attaché les mains
derrière le dos et on a coupé le col de sa chemise ensuite on lui a lié les
deux pieds puis on lui a noué les deux manches de sa veste sur le menton. On
l’a pris sous les aisselles pour le conduire à la guillotine. La foule est là qui
attend hurlante. Les gendarmes, les soldats sont aussi là pour accompagner le
condamné. Mis dans une charrette avec le prêtre, le narrateur frémit de peur
devant cette foule enragée. Sur le chemin qui mène à la place de Grève la foule
s’est attroupée. Sous une pluie fine la charrette passe par le pont- au-
Change, par le quai aux Fleurs puis par la coin du Palais. Attiré par une Tour,
le narrateur demande au prêtre des informations sur cet édifice. Ce dernier lui
a dit qu’elle s’appelle crucifix et le baise pour avoir du courage à affronter
la foule qui semble l’effrayer plus que la mort.
ü Son corps commence à sentir la mort.
Tout défile devant ses yeux sans qu’il puisse y accorder la moindre attention.
Seule la voix de la foule se fait entendre. Enfin la charrette arrive à la
place de Gréve, le narrateur demande alors une dernière faveur : écrire ses
dernières volontés
ü XLIX. CHAPITRE 49
ü Le condamné demande sa grâce à cette personne
qu’il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu’on lui
donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent
de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore, mais voilà
qu’on vient le chercher…
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