les sujets importants ( production écrite)

 

Les idées et production écrite



Le sacrifice

·         Un parent qui renonce à sa passion ou à sa carrière pour s'occuper de ses enfants et les élever.

·         Un grands-parents qui prend en charge la garde de ses petits-enfants pour permettre aux parents de travailler ou de se reposer.

·         Un frère ou une sœur qui abandonne ses projets pour aider un autre membre de la famille en difficulté financière ou personnelle.

·         il est vrai que le sacrifice peut être considéré comme un acte noble envers la famille, car il implique de mettre les besoins et le bien-être des autres avant les siens propres. Par exemple, un parent qui quitte son emploi pour s'occuper de son enfant malade est un acte de sacrifice pour la famille.

·         il est important de noter que le sacrifice ne doit pas être excessif ou nuisible à la santé mentale ou physique de la personne qui le fait. Par exemple, un parent qui travaille sans relâche pour subvenir aux besoins de sa famille, mais qui ne prend pas de temps pour se reposer ou s'occuper de sa propre santé, n'est pas vraiment en train de faire un sacrifice noble pour sa famille.

·         le sacrifice est une question de compromis et d'équilibre. Il est important de trouver un équilibre entre les besoins de la famille et les besoins de soi-même, pour pouvoir continuer à prendre soin de sa famille de manière durable.

Le bonheur

ü  Le bonheur est quelque chose que nous ne pouvons pas décrire avec des mots, il ne peut être ressenti que par l'expression d'un sourire. De même, le bonheur est un signal ou une identification d'une vie bonne et prospère. Le bonheur est très simple à ressentir et difficile à décrire. De plus, le bonheur vient de l'intérieur et personne ne peut voler votre bonheur

ü  Comment pouvez-vous atteindre l’état de vrai bonheur à l'intérieur ? 

·         J'ai énuméré les éléments suivants qui peuvent vous aider à y parvenir :

·         Le premier et le plus important est d'être un grand amant pour vous-même, traitez-vous comme un prince ou une princesse

·         Éloignez-vous des personnes source de négativité

·         Éloignez-vous des sentiments négatifs d'envie, de jalousie, de peur, de colère

·         Nourrissez votre corps et votre âme. Prenez des repas nutritifs et commencez à méditer

·         Prenez du temps pour vous, comme lire ou écrire un livre, regarder un film ou autre chose lorsque vous êtes dans votre entreprise. C'est le meilleur moyen de se débarrasser de la peur d'être seu

 

Le devoir

ü  Le devoir est un concept chargé de significations. Généralement il est conçu comme étant une obligation morale, dictée par le système moral que l'être humain accepte par principe, par les convenances et aussi par la loi. Et l'être humain est appelé à l'accomplir. 

ü  La vie sociale doit sa continuité par l'application du devoir qui, à mon sens, est le garant exclusif de l'organisation de la société. Le devoir peut être personnel, familial et social. Or, il semble que ce mot est rejeté et n'est plus pris en considération. Qui reconnaît aujourd'hui le devoir des uns envers des autres ? Chacun estime qu'il n'a qu'un seul devoir : être, jouir, éprouver le plaisir, posséder, prendre, à tel point que le devoir apparaît comme une contrainte qui gêne l'existence de l'homme en société. D'abord, le devoir de l'homme envers lui-même : l'homme est appelé à s'épanouir, à aspirer à ses ambitions, tout en prenant en considération ses compétences personnelles. Ce devoir est donc sacré. Quant au devoir de l'homme envers ses semblables, quelle serait sa vie si la solitude l'écartait d'autrui, si l'égoïsme le ronge ?

ü  La valeur de l'homme réside dans le fait de se sentir utile aux autres. Le devoir est le lien qui unit l'homme à ses semblables dans un cadre d'échange des responsabilités. L'intérêt d'autrui doit constamment être présent dans ses relations ce qui me paraît relativement utopique en notre temps c'est l'intérêt personnelle qui dépasse de loin tout intérêt à autrui. Et cette indifférence et individualisme conduit fatalement à la dislocation et à la destruction de la vie sociale et la disparition des principes fondamentaux pour lesquels elle a été conçue. Je ne dis pas que l'homme doit favoriser l'altruisme au détriment de ses obligations personnelles, mais j'opte pour un équilibre qui réhabilite l'homme en tant qu'un être effectivement social.

ü  Le mot « devoir » est une notion chargée de sens. Souvent il est compris comme étant une obligation imposée par le système moral que l'homme accepte par principe, par les convenances et par la loi. Et l'être humain est appelé à l'’assumer. La société doit sa continuité grâce à l'application du devoir qui en est le garant exclusif.
Le devoir peut être personnel, familial et social. Or, il semble que ce terme est rejeté et n'est plus pris en considération. Qui reconnaît aujourd'hui le devoir des uns envers les autres ? Chacun croit qu'il n'a qu'un seul devoir : être, jouir, éprouver le plaisir, posséder, prendre…à tel point que le devoir apparaît comme une contrainte qui trouble l'existence de l'homme en société. D'abord, le devoir de l'homme envers lui-même : l'homme est appelé à s'épanouir, à aspirer à ses ambitions, tout en prenant en considération ses aptitudes personnelles. Ce devoir est donc sacré. Quant au devoir de l'homme envers ses semblables, quelle serait sa vie si la solitude l'écarte d'autrui, si l'égoïsme le ronge ? 
La valeur de l'homme réside dans le fait de se sentir utile aux autres. Le devoir est le lien qui unit l'homme à ses semblables dans un cadre d'échange des responsabilités. L'intérêt d'autrui doit constamment être présent dans ses relations ,ce qui me paraît relativement utopique .A notre époque, c’est l'intérêt personnelle qui dépasse de loin tout intérêt à autrui. Et cette indifférence et individualisme conduit fatalement à la dislocation et à la destruction de la vie sociale et la disparition des valeurs fondamentales pour lesquels elle a été conçue. Je ne dis pas que l'homme doit favoriser l'altruisme au détriment de ses obligations personnelles, mais j'opte pour un équilibre qui réhabilite l'homme en tant qu'un être effectivement social.

 

La famille et le conflit de génération

 Certes la famille est la base de la société et assure la continuité de l'espèce humaine. Elle s'efforce d'établir une harmonie entre ses membres qui la constituent. Or, cette continuité ne se fait pas sans crise.
La famille est censée apporter au jeune la sécurité et la tendresse qui le protègent des dangers du monde extérieur, contre lesquels il n'est pas encore immunisé, assurer sa sécurité, aguerrir sa personnalité afin d’affronter les épreuves. Mais cela ne saurait cacher le revers de la médaille, c'est-dire, les conflits, les angoisses, les incompréhensions ...

 
Les parents ne cessent de se plaindre de leurs enfants, ils les accusent d'être à l'origine de conflits pensant' que leurs parents sont dépassés et que la conception que se font ces derniers de la vie est révolue et que la réalité actuelle est totalement différente d'autrefois.
Les jeunes se croient aptes à avoir la possibilité de gérer leur vie comme il leur convient. Ils se conduisent comme s'ils étaient munis de toute expérience susceptible de les mettre à l'abri des difficultés de la vie. Ils considèrent, par exemple, l'intervention de leurs parents dans le choix de leurs vêtements, de leurs ami(e)s comme une ingérence dans leur vie privée, dans leur intimité.
On pense que l'ouverture de la société, les moyens modernes de communication, le développement des médias...ont rendu plus rapide la maturation de ces jeunes et a accéléré leur épanouissement. Ainsi, ils sont persuadés qu'ils sont capables de gérer leur vie sans le concours de leurs parents dans un monde devenu plus complexe et plus dangereux à tous les niveaux.
Pourtant, il existe des parents qui se montrent excessivement autoritaires, ignorant que le jeune traverse une étape décisive de sa vie, qu'il est en pleine mutation. Cette étape se caractérise par des transformations aussi bien physio-psychologiques. Les parents qui ignorent ce processus ne font que creuser davantage l'écart qui existe déjà entre eux et leurs enfants. Cela provoque des conflits de générations chroniques et profonds. Cela pourrait, sans doute, engendrer la dislocation de la cellule familiale, dans une époque où l'on a besoin beaucoup plus de soutien et de solidarité.
Il faut reconnaître que nous assistons au début du déclin de l'autorité parentale. Ainsi, s'est constituée, entre l'enfance et l'âge adulte, une sorte classe d'âge, qui aussitôt divorçant d'avec l'âge de l'enfance, tente, tant bien que mal, de prendre son destin en main.
Le jeune dans sa famille se sent, malgré lui, tiraillé entre deux besoins opposés : besoin de sécurité et celui d’autonomie.
Il est regrettable de dire que les parents ne jouent plus le rôle qu' ils jouaient avant et que les commandes de la famille leur échappent cédant ainsi l'initiative à ce que l'on appelle l'ouverture au nom du« modernisme ». On dirait que les parents ne sont devenus que des personnes qui doivent se charger de régler des factures, payer les mensualités des écoles etc. ..Ils ne sont plus, malheureusement, les conseillers. Ils sont devenus une ancienne devise qui n'est plus négociable.


 

la peine de mort texte argumentatif

La peine de mort est un sujet qui divise les opinions depuis des décennies. Certains estiment que la peine de mort est un moyen efficace de dissuasion contre les crimes les plus graves, tandis que d’autres soutiennent que cela va à l’encontre des droits humains fondamentaux.

Je crois fermement que la peine de mort est inacceptable et que cela ne devrait pas être une option pour punir les criminels, peu importe la gravité de leurs actes. Premièrement, il y a toujours un risque d’erreur judiciaire. Des innocents peuvent être condamnés à mort et cela est irréversible. Nous avons vu de nombreux cas où des personnes ont été libérées de prison après des années pour des crimes qu’ils n’ont pas commis. Cela montre que notre système judiciaire n’est pas infaillible et que la peine de mort peut causer des préjudices irréparables.

Deuxièmement, la peine de mort va à l’encontre du droit à la vie, qui est un droit humain fondamental. Le droit à la vie ne devrait pas être retiré, même aux criminels les plus violents. La peine de mort est souvent perçue comme une vengeance, plutôt qu’une mesure de réadaptation. Elle ne donne pas aux délinquants la possibilité de se repentir et de se réintégrer dans la société.

Enfin, la peine de mort est coûteuse pour le système judiciaire et pour les contribuables. Les coûts associés aux appels, aux audiences et aux exécutions sont considérables. Cet argent pourrait être mieux utilisé pour aider à prévenir les crimes ou pour aider les victimes de crimes.

En conclusion, la peine de mort ne devrait pas être utilisée comme une option de punition. La justice doit être juste et impartiale, mais aussi réhabilitatrice, afin de donner une chance aux criminels de se repentir et de se réintégrer dans la société. La peine de mort est inacceptable et va à l’encontre des droits humains fondamentaux.

La polygamie

Dans la période préislamique (Jahiliya), la caractéristique du mariage consistait à pratiquer une polygamie débridée, allant jusqu’à huit ou bien dix épouses, la limite n’existait pas, jusqu’à ce que l’Islam arrive  pour limiter et  réorganiser la polygamie.

 

Définition de la polygamie :

La polygamie est un type de mariage dans lequel une personne est unie à plus d'une autre.

 

Pourquoi un musulman a droit à plus d'une épouse ?

 

L’islam qui autorise d’épouser quatre femme, mais pas plus que ça.

Allah dit : «  il est permis d’épouser deux, trois ou quatre parmi les femmes qui vous plaisent, mais si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela, afin de ne pas commettre injustice ».   (nisaaa-3)

 

« Ne vous penchez pas tout à fait vers l’une d’elle au point de laisser l’autre en suspens » (nisaa-129)

 il est rapporté que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit : « Celui qui possède deux femmes, et aura penché vers l’une plus que l’autre,  il viendra le Jour de la résurrection avec une partie de son corps bancale ( qui penche) » Hadith rapporté par at-Tirmidhi n°3-4 /115, ibn Majah n° 3/16 et l’Imam Ahmad

 

 « Vous ne pourrez jamais être équitables entre vos femmes même si vous en êtes soucieux » (nisaa-129) 

Cheikh as-Sa’di a dit concernant ce verset : « Allah informe que les époux ne sont pas capables d’avoir une équité parfaite entre les épouses (…) A vous d’être équitables entre elles dans ce qui concerne les dépenses, les vêtements, le partage des nuits, et autres, contrairement à l’amour et aux relations sexuelles et tout ce qui ressemble à cela. »

La polygamie n'est donc pas une règle, mais une exception. Beaucoup de gens croient qu'il est obligatoire pour un musulman d'épouser plus d'une femme.

 

Pourquoi le prophète Mohammed (prières et bénédictions soit sur lui) épouse plusieurs qu’une seule femme ?

 

 

Mohamed lui-même s’est marié avec Khadija âgée de quarante ans alors qu’il n’avait que vingt cinq ans. Lors de son décès, il avait plus de cinquante ans sans être polygame. Au cours des dernières années de sa vie, il s’est remarié avec plusieurs femmes. Chaque mariage avait une raison différente : familiale comme le mariage avec Souada afin qu’elle puisse s’occuper de ses enfants. Le mariage avec les veuves Hafsa et Um Salma. Autre mariage, celui avec Jouayria bint Alharith qui était esclave. Mohamed l’a libérée pour l’épouser. La conséquence de ce mariage, a permis aux compagnons de Mohamed de libérer une centaine d’esclaves parents et proches de cette femme qui était considérée comme mère des croyants. Il s’est remarié avec Um Habiba , fille d’ Abu Sufyan chef des Mecquois pour une raison politique. Le mariage avec Aïsha avait pour but d’honorer son père Abu Baker qui a dépensé sa richesse et consacré sa vie pour la nouvelle religion

 

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