Chapitre 7
Temps :
« Deux jours avant l’Achoura »
Le lendemain matin
Trois heures du matin
·
Les préparatifs de
l’Achoura commencent. Les femmes s’achètent des tambourins et des bendirs, deux
jours avant la Achoura.
·
Le père achète au narrateur
une trompette. Il ne tarde pas à faire résonner l’instrument quand l’écolier
Hammousa, envoyé par le fqih, vient le chercher :
·
on a besoin de lui pour l’équipement des
lustres. Les écoliers s’activent à la besogne comme des fourmis. Ils terminent
le travail avant le coucher du soleil et retournent chez eux.
·
L’enfant trouve sa mère
ennuyée car le pétrole de la lampe s’est épuisé. Elle prie Driss El Aouad de
lui en apporter. Cette nuit, le garçon dort bercé par son bonheur : son
père lui fait part de son intention de l’emmener avec lui demain au souk pour
qu’il choisisse ses jouets.
·
Le matin, après le repas, le
père et son fils partent vers le souk. Ils achètent des jouets, un cierge avant
de se rendre chez le coiffeur.
·
Le narrateur n’aime pas
cette personne diabolique qui le circoncirait un jour. Il y a des clients qui
viennent demander au barbier des remèdes pour leurs maladies
·
. Après de longs
discussions et la saignée d’un client, le coiffeur rase la tête du narrateur et
la lui blesse.
·
De retour à la maison, le
garçon mange vite afin de pouvoir jouer avec Zineb et d’autres enfants jusqu’au
coucher du soleil. Après un bain douloureux, il mange et s’endort.
A Trois heures du matin, sa mère le tire d’un
sommeil doux, il s’habille des vêtements neufs et se dirige vers le Msid et se
chausse de ses babouches neuves. Dans la rue, le père lui donne cinq francs et un
cierge pour le fqih. Dans le Msid éclairé, les écoliers psalmodient de Coran
avec
ferveur : aujourd’hui, ils fêtent la
Achoura. A cette occasion, le fqih accorde à ses disciples trois jours de
vacances.
·
Après le déjeuner à la cour
duquel il s’est régalé de gâteaux, le père emmène avec lui le narrateur au
sanctuaire Moulay Idriss pour accomplir des prières.
·
L’enfant passe l’après-midi à écouter les
récits sans tête ni queue de Lalla aicha qui rend visite à sa mère.
·
Elle dit que les affaires
de son mari prospèrent. Au moment où la visiteuse veut lui confier un
secret, la mère envoie son fils jouer sur le terrasse. Le soir, la femme part.
Événement :
La vielle de l’Achoura, les femmes s’achètent
des bendirs et des tambours. Le père du narrateur lui offrit une trompette et
sidi Mohamed participa au Msid à l’équipement des lustres pour la nuit de
l’Achoura. Rentré chez lui, sidi Mohamed apporta un brin de menthe à Kanza qui
le récompensa par une poignée de grains de sésame. Le père du narrateur lui fit
part de son intention de l’emmener le lendemain chez le coiffeur. Une fois chez
ce dernier, Si Abderrhman bavarda sans discontinuer avec oncle Hammad du
mariage de Sidi Ahmeh avec la fille de Si Omar le notaire. Sidi Mohamed se
trouva mal et son père s’empressa de le faire sortir de la boutique. Rentré
chez lui, l’auteur joua et prit un bain.
Le jour de l’achoura, le narrateur mit ses
vêtements neufs et apporta cinq francs et un cierge au Msid. Ce dernier avait
une allure féerique. Une fois chez lui, le narrateur mangea un repas de fête et
c’est alors que lalla Aicha dit à la famille une visite surprise.
Informations :
Liesse; Préparatifs; Coupe de cheveux; Douche
nocturne; Habillage;Rites : psalmodies au Msid;Visite de Lalla aicha
Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :
Transfiguration au Msid
(« congrégation de seigneurs de légende)
Plus besoin de rêverie en ce jour de fête.
Récit enchâssé :
Plusieurs histoires imbriquées (prolixité du
coiffeur) ; lalla Aicha la situation de son mari s’est améliorée (elle
révèle des secrets à son amie). ; (considérations sur sa façon d’accoler
les événements)
Lieux :
Le Msid, la maison du narrateur, bab Moulay
Idriss, Chémaine la rue bab Moulay Idriss, le quartier Sagha, Moulay Idriss, la
place des notaires.
Personnages :
Les femmes de la maison, Zineb, le narrateur, le
fqih, les condisciples du narrateur, Hammossa, Driss El Aouad, Lalla Kanza, Si
Abderrhaman, le coiffeur, oncle Hammad, le père du narrateur, Moulay Larbi
Alaoui, Sidi Ahmed, la fille de Si Omar, Lalla Aicha.
Chapitre 8
Temps :
« Après
les jours liesse… »; « La chaleur »; Un lundi ; Le lendemain
matin
·
Les
insectes envahissent la maison, à cause de la chaleur, les écoliers n’étudient
plus dans le Msid ; ils déménagent dans un petit sanctuaire abritant la
tombe d’un saint situé non loin.
·
Alignés
derrière le fqih, ils font leurs prières dans ce lieu. La bienveillance
inhabituelle du maître et le changement de décor ont un effet avantageux sur le
narrateur.
·
Le
père est fier de ces progrès. Mais l’enfant ne désire pas devenir un
savant ; il apprend studieusement uniquement pour faire plaisir à ses
parents. Au cours de la récitation, son imagination erre ailleurs.
·
Un
lundi, le père annonce son intention de se convertir dans la fabrication des
haïks à la place des djallabas.
·
Le déjeuner fini, l’enfant est préoccupé par
la comparaison des bijoux aux fleurs, comparaison qui fait rire ses parents. Il
plonge dans une réflexion sur les fleurs et les bijoux.
·
Pendant ce temps sa mère
échange des propos avec Fatma Bziouya. Après la prière de
l’Aassr, le père emmène sa femme, Fatma Bziouya et son fils au souk dans le but
d’acheter des bijoux à sa femme.
·
Le père se dispute avec un courtier de bijoux.
Ayant perdu les traces du père, le narrateur, sa mère et la voisine rentrent à
la maison. Lalla Zoubida et son fils pleurent en attendant le retour de Si
Abdeslam.
·
A
la tombée de la nuit, le père revient apportant les bracelets. La mère, les
considérant comme un signe de mauvais augure (=défavorable, mauvais signe), les
reçoit à contrecoeur
·
.
Cette nuit, le narrateur fait un cauchemar. Lorsqu’il se réveille le matin, le
père le dispense d’aller au Msid. Il garde le lit toute la journée. Lalla Aicha
vient leur rendre visite. Après que la mère a abandonné la mésaventure du souk.
·
La
visiteuse l’informe que son mari l’a abandonnée et épousé la fille du coiffeur
Abderrahman. Soudain le narrateur se sent mal et s’endort.
Evénement :
Avec
l’arrivée de la chaleur, les mouches firent leur apparition dans la maison du
narrateur où la mère les chassait à grands coups de torchon. Le Msid fut
déménagé dans un petit sanctuaire ce qui améliora l’aptitude d’ apprendre de
Sidi Mohamed. Un lundi, le père du narrateur annonça son intention d’emmener sa
femme et son fils au souk de bijoux pour acheter à sa femme des bracelets
soleil et lune. Accompagnée de fatma Bziouya, la famille du narrateur
arriva au souk des bijouteries. Le père du narrateur qui voulait corriger le
courtier malhonnête, se disputa avec lui et disparut dans la foule des badauds.
Sa famille rentra en pleurs pour attendre la fin des événements. A son retour,
le père apporta les bracelets dont sa femme n’en voulait plus arguant qu’ils
vont attirer le malheur sur son foyer. Après ces malheurs, Lalla Zoubida reçut
la visite de Lalla Aicha, lui raconta les démêlés avec le Dellal et compatit
aux malheurs de son amie. Sidi Mohamed, rendu malade par tout ce tragique, en
devint véritablement malade.
Informations :
Dépit
du narrateur en raison du rire de ses parents d’une de ses
réflexions ; querelle du père dont on a perdu la trace juste après,
avec un courtier ; douleur extrême de la mère ; cauchemars marquants
de l’enfant ; cris et pleurs : le mari de Lalla aicha vient de
prendre une seconde épouse (la fille d’Abderahman le coiffeur) ; le
narrateur tombe vraiment malade.
Lieux :
La
chambre, le petit sanctuaire, le Souk des bijoux, le Souk des fruits secs, la
maison.
Personnages :
La
mère du narrateur, le narrateur, le fqih, le père du narrateur, Fatma Bziouya,
Dellal, lalla Aicha.
Chapitre 9
·
Le
narrateur se revivifie le soir du jour suivant ; mais il a encore mal. Les
parents en sont affligé. Après un dîner triste, le mari informe sa femme qu’il
est ruiné .Il fait part de son intention de travailler comme ouvrier
moissonneur dans les environ de la ville.
·
Le
matin,le père part. l’enfant éprouve le vide autour de lui, même s’il se sent
mieux.
·
Fatma
Bziouya lui apporte un boisson à la menthe sauvage, qu’il boit de mauvais gré.
Après le déjeuner, la mère sort pour aller rendre visite à son amie Lalla
Aicha ; le narrateur reste dans son lit
·
.
Pour tromper l’ennui causé par l’affreuse attente du retour de sa mère, le
garçon vide sa Boite à Merveilles; mais les objets qu’elle contient lui
inspirent le chagrin.
·
Le soir, bercé par les bruits de l’orage le
son d’une flûte mystérieuse, il dort avec peine.
·
La
mère le réveille et lui promet une omelette qu’il aime beaucoup. Elle l’emmène
avec elle au sanctuaire Sidi Ahmed Tijani pour se recueillir.
·
Après,
ils se dirigent vers la maison de Lalla Aicha. Les deux ont l’intention d’aller
consulter Sidi el Arafi, un voyant aveugle, pour qu’il leur donne conseil à
propos des malheurs qui les frappent.
Événement :
Le
narrateur souffrit de la fievre et sa mère resta aux petits soins pour lui. Une
fois rebtré, le père du narrateur annonça à sa femme qu’il a perdu son capital
dans la cohue des enchères aux haiks. Il a pris aussi la décision de vendre les
bracelets et d’aller travailler comme moissonneur aux environ de Fès. Le
surlendemain, le père partit en laissant à sa femme l’argentdes bracelets. Pour
accelerer la guerison de sidi Mohamed, Fatma lui apporta un Tadeffi qu’il se
fit prier pour avaler. Sur les conseils de lalla Aicha, la mère du narrateur
partit en compagnie visiter El Arafi qui habitait quartier Seffah et avait une
bonne réputation.
Informations :
Le
père a perdu son maigre capital, sa résolution de partir travailler comme
moissonneur.
Départ
du père
Ce
qu’il en résulte : détérioration, solitude, vie double de l’enfant.
Visite
chez Lalla Aicha.
Symbolisme de la boite à
merveilles / Le merveilleux :
La
boite : « un cercueil où gisait… »
Lieux :
Mausolée
Ahmed Tijani _ ruelle. Chez lalla Aicha.
Tableaux et
descriptions :
le
narrateur-personnage alité.
Altercation
de la mère avec un marchand de tomates
Description
de la misère des lieux.
Personnages :le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, Rahma , Fatma , El
Araf
Chapitre 10
·
Un
garçon conduit les deux femmes et le narrateur dans un dédale sordide et
sombre.Arrivés dans la chambre du voyant,
·
le
narrateur se met à épier l’homme et le lieu.
·
Le panier du voyant rappelle à l’enfant sa
Boite à Merveilles. L’homme demande à l’enfant de plonger sa main dans le
panier et de saisir un objet sans le voir. Ce dernier obtempère et prend une
boule de verre.
·
Après
un court rituel, le voyant conseille au narrateur de revenir toujours vers soi
lorsque la solitude et le malheur l’assiègent.
·
A
son tour, Lalla aicha plonge la main dans le panier et en tire un coquillage.
L’homme la réconforte en disant que le beau temps succède toujours à la pluie.
·
La
mère sort du panier une perle noire à dessins multicolores. Et le voyant de lui
conseiller de visiter les sanctuaires de la ville qui lui accorderont leur
protection.
·
Après
avoir glissé des pièces de monnaie dans la main du voyant, les deux femmes s’en
vont. Le narrateur rayonne de joie. Soudain, il s’agrippe au haïk de sa mère,
de crainte d’être vu par le fqih qui est passé dans la rue.
·
Chemin
faisant, la mère refuse de lui acheter une grenade qui n’est pas encore mûre ;
aussi se met-il à pleurnicher.
·
Lorsqu’ils reviennent à la maison, la mère
cache aux voisines sa démarche auprès du voyant, de peur d’éventer les secrets
de la famille.
·
Pendant
l’absence du père, le garçon n’ira pas au Msid, il tiendra compagnie à sa mère.
Chaque semaine, la mère l’emmène prier dans un sanctuaire. Un matin, quelqu’un
frappe à la porte ; il vient de la part du père absent. Il remet à la mère
un pot de beurre, une douzaine d’œufs, une bouteille de l’huile et d’argent
avant de s’en aller. Le narrateur et sa mère en sont très enchantés.
·
La femme fait don d’une part des œufs aux
voisines. Arrive Lalla aicha qui partage avec la famille sa joie et les six
œufs restants.
Événement :
Lalla
Aicha, Lalla Zoubida et sidi Mohamed n’eurent aucun mal à trouver la maison de
El Arafi, connu et respecté par ses voisins. Une fois chez lui, el Arafi,
s’aida de son panier pour « sentir avec cœur les peines de ses
visiteurs ». Après avoir écouté les prédictions voilées de El Arafi, le
narrateur favorablement impressionné lu baisa la main alors que sa mère et son
amie lui glissèrent à tour de rôle une pièce d’argent dans la
main. Rentrée chez elle, la mère tut inhabituellement sa visite chez le
voyant et prétendit être allée en pèlerinage aux sanctuaires de la ville. Le
lendemain, elle annonça à son fils son intention de le garder à la maison et de
l’emmener chaque semaine prier sous la coupole d’un saint. Un matin, elle reçut
la visite d’un envoyé de son mari qui lui apportait une douzaine d’œufs, du
beurre, de l’huile et de l’argent. Lalla Aicha arriva lors à l’improviste et
pria son amie de lui rendre visite le lendemain parce qu’elle avait des choses
à lui dire.
Informations
Le
narrateur, sa mère et Lalla Aicha se rendent chez le fqih El Arafi.
CHAPITRE 11
·
Le jour suivant, la mère et
le narrateur se rendent chez Lalla aicha. Ils la trouvent en train de mener une
guerre acharnée contre les mouches. Parès que l’hotesse a préparé les
ustensiles de thé, les deux femmes entament une longue conversation.
·
Il ne se passe pas un long
temps quand arriva Salama, une marieuse professionnelle.
·
La marieuse commence par
demander pardon à lalla aicha pour avoir arrangé le mariage de si Larbi avec la
fille du coiffeur.
·
Puis elle annonce le
divorce imminent de ce dernier couple. Elle raconte comment l’homme l’a abodée
dans un souk et lui a demandé de lui trouver une autre épouse.
·
Au milieu du récit, le garçon descend au
rez-de-chaussée afin de se soulager.
·
Une voisine le remontre parce qu’il n’a pas
fermé la porte des toilettes ; et l’enfant s’éclate en sanglots. Une
dispute est sur le point de survenir sous l’intervention de Salama qui calme
les femmes.
·
La marieuse continue son
récit, expliquant que les fantaisies de la jalousie de la fille du coiffeur,
gâtée par sa mère.
·
Le récit est interrompu par
l’arrivée de Zhor, une voisine qui vient demander de la menthe ; elle
reste pour siroter un verre de thé.
·
La nouvelle arrivante
confirme que le divorce en question ne tardera pas à avoir lieu à cause des
folies de l’épouse. Après les quatre femmes partent en diatribes contre la
famille du coiffeur.
Événement :
Arrivés chez Lalla Aicha, la mère et son fils la
trouvèrent en train de chasser les mouches. Quand enfin les deux femmes
commencèrent à conserver, elles reçurent la visite de Salama, qui raconta le
rôle qu’elle a eu le remariage de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur et les
déboires conjugales du nouveau couple. Sur ces entrefaites, Zhor s’annonça pour
emprunter un brin de menthe et confirma par son récit les malheurs de Moulay
Larbi avec sa jeune femme. Après l’écoute du récit de Salama et de Zhor, toutes
les femmes se lancèrent dans une diatribe contre le coiffeur et sa famille.
Passionné par cette conversation, le narrateur renversa son verre de thé ce qui
mit brusquement fin à l’ivresse verbale des femmes
Informations :
Evolution de la relation de Moulay Larbi avec sa
nouvelle épouse.
Récits enchâssés
Salama raconte les circonstances du mariage de
Moulay Larbi, les agissements bizarres de sa jeune épouse et son regard tardif.
A son arrivée, Zhor reprend le récit et apporte
des éléments nouveaux (Hystérie de la jeune épouse et imminence du divorce)
Lieux :
La maison de Lalla Aicha, le quartier El Adoua.
Personnages :le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, Zhor, Salama, Moulay
Larbi, la fille du coiffeur et sa famille.
Chapitre 12
·
Le
narrateur admire les couplets entonnés par les femmes habitant dans la maison ;
aussi rêve-t-il de composer une chanson.
·
Il choisit le nom Zhor pour le mettre dans sa
chanson. Cette femme hante les souvenirs du narrateur.
·
Au
milieu des chants, un garçon arrive. Le narrateur en éprouve une grande
appréhension.
·
Il
s’agit de Allal El Yacoubi, son condisciple au msid. Il est envoyé par le fqih
afin qu’il s’enquiert de l’état de santé du narrateur. La mère lui dit que
l’enfant ne peut aller présentement à l’école coranique.
·
Ce
qui comble le garçon c’est la nouvelle annoncée par Zineb : le retour du Maalem
Abdeslam.
·
Le
père rapporte avec lui deux poulets, des œufs, un pot de beurre, une bouteille
de l’huile, un paquet d’olives et un morceau de galette paysanne en grosse
semoule.
·
Driss
El aouad monte saluer le père. Il l’informe que le divorce entre Moulay Larbi
et la fille du coiffeur a été prononcé hier. Au cours de la longue conversation
entre les deux hommes, le narrateur prend sa boite à Merveille et se met à
rêver.
Événement :
Un
matin où flottait dans la maison un air nouveau et où tout le monde
chantonnait, Allal El Yacoubi vint s’enquérir de la santé de Mohamed. Rassuré,
il s’en alla informer le fqih. C’est alors que Zineb vint annoncer le retour de
Maalem Abdesslam qu’elle venait d’apercevoir près de la mosquée de bigardier.
En effet, un peu plus tard, le père du narrateur rentra chez lui chargé de deux
poulets et de diverse provisions. Alors que lalla Zoubida rangeait ses
richesses, sidi Mohamed raconta à son père les événements passés pendant son
absence. Priant son ami Driss de monter chez lui, Maalem Abdeslem bénit cette
separition et Sidi Mohamed bercé par la conversation des deux hommes, sortit sa
boite à merveilles et se laissa emporter par le sommeil.
Informations :
- Driss
el Aouad annonce au père que My Larbi a répudié sa femme.
Symbolisme de la boite à merveilles
/ Le merveilleux :
Se
sentant négligé et fatigué, l’enfant se retourne vers ses amis. Il ouvre sa
boite à merveilles.
Lieux :
Dar
Chouaffa, la mosquée de bigardier
Personnages :La chouaffa, les femmes de dar Chouffa, le narrateur,
Allal El Yacoubi, Zineb, Maalem Abdeslem, Driss EL Aouad
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